On ne nage pas avec des caméras. Il faut choisir l'utilisation de notre argent. "T'as les moyens. T'auras tout. T'as pas les moyens? T'auras rien." Macron veut diriger tout seul. On voit le résultat. Émeutes sur émeutes. "Tu veux mourir de mort violente? Tu te fais contrôler par la police. Le sexe n'est pas un "travail". Soutien aux Palestiniens et aux Palestiniennes.
« Quand côte à côte nous serons enfin des gisants, l’alliance de nos livres nous unira pour le meilleur et pour le pire, dans cet avenir qui était notre rêve et notre souci majeur, à toi et à moi. La mort aidant, on aurait peut-être essayé et réussi à nous séparer plus sûrement que la guerre de notre vivant : les morts sont sans défense. Alors, nos livres croisés viendront, noir sur blanc, la main dans la main, s’opposer à ce qu’on nous arrache l’un à l’autre. »
Elsa
Le moulin de Villeneuve ou maison Elsa Triolet-Louis Aragon est un vieux moulin à eau situé sur la Rémarde à Saint-Arnoult-en-Yvelines, il est entouré d'un parc de six hectares.
Il fut construit au XIIᵉ siècle, et fut remanié aux XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles.
Dernier roman, Le rossignol se tait à l’aube
Ce roman autobiographique
Met en scène une dizaine d’hommes
Qui entourent leur égérie.
Elle effectue des retours sur elle-même,
Le temps d’une mémoire ravivée.
Près d’eux, dans un verger,
Chante un rossignol joli.
Il siffle des notes de son enfance.
Au passage de la nuit
Vers le jour et la clarté,
Il cesse son chant.
Les rêves de restaurant,
De valises, de train, les souvenirs
De cette femme,
De ceux de son mari,
Se mêlent, s’imbriquent.
Comment s’imaginer
La fin de l’amour, de la vie ?
Bernard Vasseur.
La maison de Louis Aragon et d’Elsa Triolet a été acquise en 1951.
Ils y ont vécu jusqu’à leur mort, jusqu’à la mort d’Elsa en 1970 puis celle d’Aragon en 1982. Le Moulin de Villeneuve est à Saint-Arnoult-en-Yvelynes, à 50 km au sud-ouest de Paris. C’est près de Rambouillet et pas très loin de Chartres. Saint-Arnoult est connu pour les reportages de télévision sur les queues des autoroutes et qui se font au péage de Saint-Arnoult sur l’autoroute A10 qui va de Paris à Orléans.
C’est la maison du repos et de l’écriture. C’est un lieu très beau à visiter. C’est là qu’ont été écrites les plus belles pages de la littérature du XXe siècle. La maison est conservée dans l‘état où elle était lorsqu’on a fermé la porte au soir de l’enterrement d’Aragon. Personne n’y a habité entre le moment où ils étaient vivants et l’ouverture de la maison au public. Aragon le souhaitait. Mais il ne souhaitait pas que ce soit un lieu tourné vers le passé, surtout pas un mausolée même tourné à la gloire d’Aragon et d’Elsa Triolet. Il voulait que le lieu soit vivant. Nous y donnons à voir et à entendre leur œuvre, et aussi l’œuvre de poètes contemporains. On y montre des expositions d’artistes d’aujourd’hui. On y fait des colloques. On parle à tous les publics. On y accueille des scolaires qui y pratiquent des ateliers d’écriture, de musique, d’arts plastiques.
Je le dis sans méchanceté pour le livre de Pierre Daix, mais le livre de Pierre Juquin est la référence qui concerne la vie et l’oeuvre d’Aragon. Pierre m’avait fait envoyer par son éditeur le tome 1. C’étaient des épreuves avant la parution du livre, sur ordinateur. J’ai lu les 800 pages sur l’ordinateur et c’était passionnant. Ce livre se lit comme un roman.
Le 1er mai 1941 au lieu-dit « le Struthof », les nazis ouvrent un camp de concentration, le KL-Natzweiler (=Konzentrationslager).
Le camp central était situé en ce qui était alors l’Alsace annexée.
C’est le seul camp de concentration sur le territoire français.
Lieu de travail au profit de l’industrie de guerre nazie, le camp abrite les expérimentations médicales des professeurs de l’université du Reich de Strasbourg.
De 1941 à 1945, le camp est l’un des plus meurtriers du système nazi. Près de 22 000 déportés y sont morts. Le camp reçut 52 000 déportés.
Lors du procès de Nuremberg, Joseph Kramer, ancien commandant de Natzweiler et commandant de Bergen-Belsen, fut jugé par les Britanniques pour son rôle dans le camp.
Le procès de Nuremberg
1946
Si Elsa Triolet a balancé entre son attirance
Et la haine pour l’Allemagne, voire la répugnance,
Elle se résout à un rejet définitif.
La femme allemande tant vantée par le nazisme
Devient un objet de répulsion massif.
Elle fustige l’hypocrisie des servantes
Qui cache la haine et l’aigreur permanentes.
Pendant l’entre-deux guerres, sans cocon,
Elle avait constaté que la dépravation
Touchait les pauvres qui se vendaient
Dans les rues, dans les cabarets.
La beauté de la forêt allemande
A disparu devant le cataclysme terrifiant.
Les hommes et le pays sont aliénés
Et la défaite n’a rien changé.
La beauté du monde a côtoyé
La laideur des âmes dévoyées.
Sebastian Haffner
Histoire d'un Allemand
Souvenirs (1914 – 1933)
Editions Actes Sud – Collection Babel
2000 - 2003
Page 426 :
L'auteur explique comment le peuple allemand a pu devenir barbare collectivement. Il pense que la camaraderie, « virile, inoffensive, tant vantée, est un abîme diabolique des plus périlleux». Il ajoute que « les nazis savaient bien ce qu'ils faisaient en l'imposant comme forme normale d'existence ». Il est certain « que les Allemands, si peu doués pour la vie individuelle et le bonheur individuel, étaient terriblement prêts à l'accepter, à échanger les fruits hauts perchés, délicats et parfumés de la dangereuse liberté, contre cet autre fruit (…) hallucinogène d'une camaraderie généralisée, globale, avilissante. »
"Vivant la même apathie que des millions d'autres individus, je laissais venir les choses. Elles vinrent."
Sebastian Haffner
Camp des Milles
Romans
Musée de la Résistance et de la Déportation
Camp de concentration
Les étoiles.
"Politique allemand
Politique français
Politique juif.
Associal
Tzigane
Apatride."
Romans
Musée de la Résistance et de la Déportation
Dachau
Morceau de savon ramené du camp de Dachau.
Romans
Musée de la Résistance et de la Déportation
Camp de concentration
Les nazis, sombres sanguinaires, aimaient la musique...
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RN
Axel Loustau a fait un salut fasciste.
Il a perdu son procès contre Mediapart.
07 22
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Des femmes au service du Reich
L'épouse du camp de Majdanek tirait au pistolet sur les détenues depuis son balcon, pendant un barbecue entre ami-e-s.
L'Humanité
02 23
Des femmes au service du Reich est un film réalisé par Christiane Ratiney. Synopsis : Quels rôles ont joué les femmes dans l'Allemagne nazie ?
Elles s'appelaient Herta, Liesel, ou Hildegard; elles étaient secrétaires, infirmières, ou gardiennes de camp; on les pensait témoins passives d'un génocide mené par les hommes; on les découvre aussi complices et même meurtrières.
Des femmes au service du Reich. Les femmes allemandes ont longtemps été perçues comme des témoins passifs des crimes du régime nazi.
Hommage à Thérèse Clerc (par le collectif départemental 13 des droits des femmes)
Film de Morena Campani, « Née en 68 », Paris, mai 2016
Danielle Michel Chiche a écrit un livre sur Thérèse Clerc: Antigone aux cheveux blancs.
Voici le portrait d'une femme haute en couleurs, connue du grand public pour sa maison des Babayagas, et au parcours atypique. Elle a pour surnom « Thérèse de Montreuil ». En 2004, le journal Télérama la présente comme une féministe combattante qui a quitté son foyer après mai 68.
Elle a passé trois mois à l'hôpital pour soigner un abcès au poumon en 1967. Elle a découvert que sa chambre ne désemplissait pas et que les gens aimaient passer du temps avec elle à discuter. Elle, qui avait été dévalorisée pendant son enfance, a réfléchi sur sa personnalité. Elle a pu rebondir.
Elle est issue d'une famille catholique de droite. Jeune femme, elle vendait Témoignage Chrétien. Elle dit que Marx a changé sa vie. Marx et les Évangiles sont mélangés dans son expérience. Elle a découvert Marx à l'église grâce à un prêtre ouvrier. Elle a entendu « Les damnés de la Terre, levez-vous ! ». C'est la prise de conscience de l'exploitation. Elle se définit comme « une croyante laïque qui a une foi athée ».
1968, la rupture
Thérèse a vécu sa période grise avant 1968 , puis elle connut sa période bleue. Elle considère que 1968 lui a permis de vivre une seconde naissance. Depuis ce moment, elle a su lier l'individuel et le collectif. Elle est née à la vie et au combat. Cette joie est ressentie et entendue tout au long du film de Morena Campani. 1968 lui fait découvrir la puissance du collectif.
En 1968, c'est pour Thérèse la première expérience homosexuelle. C'est l'ouverture vers le plaisir, le refus de la culpabilité. Elle se libère de l'éducation cartonnée, raide, compassée reçue dans sa famille. Elle était une "bourge à collier de perles" et s'est transformée en "Woodstock avec des dredlox". Certains ont pensé qu'elle était devenue folle et ne l'ont pas reconnue avec ses cheveux lâchés et ses robes en coton. Elle était devenue libre de corps et de langage.
Thérèse divorce en 1969. Elle a dû trouver un travail car elle avait quatre enfants à charge. Son aîné avait 20 ans et sa dernière était âgée de 9 ans. Sa vie commence.
Pendant sa jeunesse, elle avait pour elle sa beauté. Avec l'âge, elle a gagné du style.
Elle disait aussi : « Le capital amorisant et solaire est ce qui m'a portée et poussée toute ma vie ».
Vers la fin de sa vie, elle pense :« Quand le temps s'éloigne et que l'espace se rétrécit, c'est le temps de l'éternité. » ou bien « Je rentre en sexagénaire. Je n'inspire plus le désir, mais pas encore la pitié ».
La place des femmes
Une femme bien élevée est une femme enfermée, effacée. Dans sa jeunesse, on disait d'elle dans sa famille: « Heureusement, cette pauvre Thérèse est jolie!».
Les femmes sont toute leur vie en attente de leurs premières règles, de leur grossesse, de la ménopause, de la mort.
Elle considère que les femmes essaient d'être amoureuses dans leur classe et dans leur couleur pour réussir leur mariage. Le mariage est synonyme de prison. Elle a trouvé que son ex-mari n'était pas méchant, mais chi...
L'argent entre aussi en ligne de compte. On monnaye tout et on monnaie les femmes. L'argent est symbolique. Il faudrait pouvoir travailler pour le plaisir.
Elle trouve que dans l'expression « Un prisonnier qui sort est ELARGI », le mot « élargi » est très beau.
Les femmes aiment leur bourreau. Elles sont les gardiennes de l'amour.
Les femmes occupent trois places: la vierge, la mère ou la prostituée. On retrouve des figures légendaires dans l'histoire. Thérèse préfère les vraies prostituées plutôt que les femmes mariées.
Le plaisir féminin était hors-la-loi
Une formule magique pour les femmes: "Oui, papa, oui chéri et oui patron!"
Elle pense que l'on culpabilise les femmes sur le sexe.
Le sexe servait à la procréation et à donner du plaisir aux hommes. Les femmes étaient interdites de plaisir et de sensations. Les femmes pouvaient faire l'amour, mais ne pas jouir. Elle trouvait cela curieux.
On expliquait aux femmes leur rôle génital (génitalité) par le truchement d'un mannequin en plastique qui reproduisait les organes féminins vu du côté médical.
C'est en 1968 qu'elle découvre la vraie liberté quand l'orgasme féminin est hors-la-loi. Elle le définit ainsi : "C'est quitter l'enveloppe terrestre (être hors de soi) pour un moment parfait". Ce mot a été détourné par le sentiment de colère, "Je l'ai mis hors de lui."
Le jour où l'on ose une autre pratique sexuelle est un jour de grande libération. L'homosexualité d'une femme avec une femme permet de quitter le monde des hommes, de ne plus les faire entrer dans l'intimité des femmes. Le plaisir venait d'une autre main que de celle d'un homme.
Thérèse s'est rendue compte de sa puissance extraordinaire.
Page 23 :
« M’est-il permis à moi-même de raconter, de rendre avec des paroles la traduction inévitable que mon imagination fit du même morceau, lorsque je l’entendis pour la première fois, les yeux fermés, et que je me sentis pour ainsi dire enlevé de terre ? »
Page 25 :
« Alors je conçus pleinement l’idée d’une âme se mouvant dans un milieu lumineux, d’une extase faite de volupté et de connaissance, et planant au-dessus et bien loin du monde naturel. »
Page 26 :
« Ma volupté avait été si forte et si terrible, que je ne pouvais m’empêcher d’y vouloir retourner sans cesse. »
Dans Charles Baudelaire
Naissance de la musique moderne
Richard Wagner et Tannhaüser à Paris
Editions Mille et une nuits (juin 2013)
Lettre de Charles Baudelaire à Richard Wagner en date du 17 février 1860 publiée en 1922.
Le texte intitulé « Richard Wagner et Tannhaüser à Paris » est paru en 1861.
Le corps des femmes est politique
En 1967, les femmes ont eu accès à la contraception avec la loi Neuwirth. Puis, en 1976, elles ont pu avorter grâce à la loi Veil. Jusque là, on punissait les femmes qui avortaient et elles pouvaient aller en prison.
L'avortement est un droit. On n'est jamais fière d'avorter. Cela pose des problèmes au niveau physique, et au niveau de l'imaginaire. La société culpabilise les femmes qui y ont recours. Elles sont 500 000 femmes à avorter dans la région parisienne.
Les femmes sont exploitées dans leur intimité. Leur corps est politique puisqu'il fait l'objet de lois.
Le corps de la femme est important dans le rapport affectif. On a enfermé les femmes dans leur douleur. En 1968, la bourgeoisie intellectuelle dénonçait l'autorité du père, les rapports familiaux.
1968 a libéré la parole des femmes, paroles qui coulaient comme un flot. Les femmes parlaient des femmes et de l'intimité de leurs corps.
Les armes de la résistance féministe
Il y a des femmes résistantes dans le monde entier face à la domination masculine. Pour certains hommes, les femmes ne sommes que perversité.
Les femmes n'ont pas beaucoup de moyens de protester. Si elles sont non-violentes, le fait d'être heureuses est une forme de résistance.
Mais casser l'ordre ancien est aussi une forme de violence.
Elle aimait les mots savoureux, même s'ils étaient grossiers. Elle parlait un français limpide, beau et aimait lâcher de temps en temps un mot vulgaire.
« A 20 ans, sois belle et tais-toi,
A 50 ans sois poubelle et tais-toi ».
Elle n'aime pas la notion de "charité" qui donne à l'autre avec compassion, mais préfère le mot de "solidarité" qui rappelle que nous sommes tous solidaires.
Un dimanche par mois, elle organisait un plat collectif en présence d'un philosophe ou d'une personnalité. Elle connut un immense succès, et il fallut changer de salle vers celle du temple protestant voisin, quand la manifestation était annoncée dans Futuroscope. Les philosophes rendent l'humanité plus haute, pensent, disent et prophétisent.
La pensée, le rêve et le rire sont liés à la politique.
La politique et Thérèse Clerc
Un pays et un territoire commun ont un sens commun. Les gens opprimés et culpabilisés ont eu l'idée géniale de se mettre en collectif et qui dit collectif, dit politique. Pour Thérèse, la manifestation est une thérapie et la thérapie est une manifestation.
A la fin de la guerre d'Algérie, les jeunes Français en reviennent. Elle décide d'adhérer au Mouvement de la Paix.
Elle rejoint le MLAC en 1973. Elle a participé à beaucoup d'avortements dans un appartement. Elle se considère différente des faiseuses d'anges.
En marge de Celles de la terre, elle a relu la Bible en étudiant les personnages féminins dont le destin était tué dans l’œuf.
Elle adhère plus tard au PSU et travaille sur la théorisation de l'Utopie.
En 1993, elle a signé l'appel des 577 qui réclamaient une démocratie paritaire.
Thérèse a créé l'université populaire sur la vieillesse (unisavie), la Maison des Femmes de Montreuil (la maison est située rue de l’Église !), et la Maison de retraite coopérative des Babayagas pour que les femmes ne terminent pas leurs vies seules ou dans la maltraitance. Jean-Pierre Brard, maire communiste de Montreuil, l'a beaucoup aidée. L'entente avec Dominique Voinet a été plus difficile. La mairesse l'aurait bien renvoyée de Montreuil. Mais, après 12 ou 13 ans de lutte, la Maison de retraite coopérative existe.
Thérèse avait une grande connivence politique et humaine. Elle a su créer un lieu militant et convivial qui survit et vit malgré les subventions en baisse.
Une femme politique a-t-elle un autre destin que de devenir un homme politique?
L'hymne des femmes
Nous, qui sommes sans passé les femmes,
nous qui n'avons pas d'histoire,
depuis la nuit des temps, les femmes,
nous sommes le continent noir.
refrain :
Levons nous, femmes esclaves
Et brisons nos entraves,
Debout! Debout !
Asservies, humiliées, les femmes
Achetées, vendues, violées ;
Dans toutes les maisons, les femmes,
Hors du monde reléguées
(refrain)
Seules dans notre malheur, les femmes
L'une de l'autre ignorée,
Ils nous ont divisées, les femmes,
Et de nos sœurs séparées.
(refrain)
Reconnaissons-nous, les femmes,
Parlons-nous, regardons-nous,
Ensemble on nous opprime, les femmes,
Ensemble révoltons-nous.
(refrain)
Le temps de la colère, les femmes
Notre temps est arrivé
Connaissons notre force, les femmes
Découvrons-nous des milliers
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_de_lib%C3%A9ration_des_femmes Nous, qui sommes sans passé les femmes, nous qui n'avons pas d'histoire, depuis la nuit des temps, les femmes, nous sommes le ...
" Heureuses les femmes qui accomplissent leur unité, elles naissent à elles-mêmes et enfantent un monde rassemblé. Heureuses celles qui effacent les frontières, la Matrie est leur Terre, elles...
The history of the MLAC [Movement for the Liberation of Abortion and Contraception] (1973-75) is resituated with respect to the " abortion battles " by considering the different social and political
Bienvenue dans le projet Celles de la Terre --- Notre campagne de crowdfunding est lancée ! --- Les dons sont défiscalisés à hauteur de 66%. --- En bref --- ...
Le but ? Ne pas mourir idiot-e ! Aussi nous proposons une université populaire avec sa pédagogie active, basée sur l'échange, sur les possibles réflexions plurielles des savoirs, qui nous para...
Des femmes remarquables sur le rideau de la Maison des Femmes: Barbara, Olympe, Simone, Louise,Thérèse, Suzy la riveteuse, et toutes les autres.... En sa 16ème année, la Maison des Femmesde ...
Personnes âgées - vieillir autrement : On a décidé de fonder un habitat senior autogéré et partagé ! | Recette d'initiative positive | Vieillir collectivement et de manière autonome : une i...
Jusqu'aux années 60, les méthodes de contraception demeurent interdites en France. La femme n'a d'autre recours que l'abstinence ou l'avortement clandestin pour éviter les grossesses à répéti...
La maison d'enfance de Camille et Paul Claudel ouvre au public.
Depuis l'asile où elle mourut, Camille Claudel se languissait de son village d'enfance de l'Aisne, "ce joli Villeneuve qui n'a rien de pareil sur terre".
(…) Intégrée au réseau des maisons d'écrivain de la région, avec les musées du Trésor de l'Hôtel-Dieu et de Jean de La Fontaine à Château-Thierry, et celui de la Mémoire 14-18 à Belleau, le bâtiment a été réhabilité pour 582.000 euros, subventionnés par l'Etat et les collectivités locales.
Depuis l'asile où elle mourut, Camille Claudel se languissait de son village d'enfance de l'Aisne, "ce joli Villeneuve qui n'a rien de pareil sur terre". Une maison d'évocation y ouvre samedi ...
La Hottée du Diable*, source d'inspiration pour Camille
*
"Le diable rôtit son poulet"
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Zoe zillion
Athènes
Bar le Duc, à partir de 1870.
Camille reçoit une éducation religieuse.
Camille communiante à Bar le Duc
Nogent sur Seine, lieu de rencontre avec Alfred Boucher*, son premier professeur de sculpture
Alfred Boucher
Sculpteur
Alfred Boucher
1850 – 1934
Bronze
La Bouillie
Vers 1880
Alfred Boucher fut l’un des premiers professeurs de Camille Claudel.
Le thème de la maternité s’illustre dans des œuvres laïques qui s’inspirent de sujets universels.
Fécamp
Musée les Pêcheries
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Alfred Boucher
1850 – 1934
Homère chantant des poésies
1875
« Homère accompagné de son jeune guide, chante ses poésies dans une ville de la Grèce », tel est le thème du prix de Rome en 1875. Alfred Boucher échoue. Le prix est remporté par Jean-Baptiste Hugues.
Fécamp
Musée les Pêcheries
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Alfred Boucher
Bouy-sur-Orvin, 1850 – Aix-les-Bains, 1934
Faune et faunesse
Troyes
Musée des Beaux-Arts
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A Nogent sur Seine
Atelier de Camille Claudel à Nogent sur Seine
Musée Camille Claudel
Nogent-sur-Seine
Auguste Rodin, Constantin Meunier ou encore Jules Dalou, représentent les différents métiers avec leurs gestes, leurs outils, leurs vêtements particuliers, pour glorifier le travail ou au contraire dénoncer les dérives de la condition ouvrière.
La nouvelle exposition du musée aubois intitulée "Les sculpteurs du travail" présente 150 sculptures d'artistes de renom. A travers un parcours chronologique, elle montre l'évolution de la ...
Albert André est né à Lyon en 1869 d’un père qui détient une entreprise de soie. Il fait des études de dessinateur industriel.
Mais un jour, il déclare à son père qu’il veut s’inscrire à l’académie Julian à Paris. Son père se demande ‘pourquoi pas ?’ et c’est là qu’Albert André va rencontrer Signac, Renoir, Marquet et tant d’autres. Un directeur de galerie le remarque et lui envoie une lettre. Pensant que c’était un canular de ses amis, il n’y crut pas. Auguste Renoir l’avait ovationné auprès de ce galeriste. C’était vrai !
La famille possédant une propriété à Laudun (Gard), il s’y installe, y trouvant une lumière sincère du Midi. Il aime y peindre. Il passe l’hiver à Paris et l’été à Laudun. Sa femme Maleck, peintre et décoratrice, était amie avec les artistes de l’époque. En 1931, leur fille adoptive Jacqueline dessine un costume de scène pour Mistinguett.
Albert André au musée d'art et d'histoire de Saint-Denis
D imanche 22 mai, à l'invitation de l'association des amis d'Albert André, des peintres sont venus planter leur chevalet dans le jardin Planchon à Laudun. ''Peindre les paysages d'Albert André'...
Je communique le message reçu par 'l'Association des Amis d'Albert André' à Laudun:
'Notre association qui a pour but de mieux faire connaître la vie et l’œuvre du peintre Albert André organise dans le cadre de la Biennale d’Arts Contemporains de Laudun l’Ardoise (30 290) une journée « autour du peintre Albert André » le dimanche 22 mai 2016.
Ainsi, entre autres animations nous souhaitons faire « peindre sur le motif » les paysages qu’a peints Albert André, c’est dans ce cadre là que nous vous invitons à participer à ce projet.
Moulage d’un des masques d’Hercule décorant la fontaine de l’obélisque d’Arles
1866 – 1867
Plâtre
Musée Réattu
Arles
Jean Dedieu
Arles, 1646 – 1727
Globe et soleil de l’obélisque d’Arles
1675
Bronze
L’obélisque provient de l’ancien cirque romain. Redécouvert en 1389, il est montré aux visiteurs de marque. Henri IV envisage de le placer au centre de l’amphithéâtre. Il sera érigé sur la place royale « pour la plus grande gloire du roi Louis XVI ». L’opération s’achève le 26 mars 1676. Le soleil à visage humain symbolise le Roi Soleil. L’effigie est déposée en 1866 au cours des travaux de restauration de l’obélisque.
Le frère de Jean Dedieu est Pons, sculpteur. Son neveu est Antoine Raspail. Son arrière-neveu est Jacques Réattu.
Musée Réattu
Arles
Osvaldo Licini
Obélisque
1932
Huile sur toile
Première exposition en 1935 à la Galerie Del Milione.
La construction s'accorde avec un jeu subtil de juxtapositions chromatiques entre la figure et le fond . C'est un goût pour l'irrationnel et la géométrie humanisée et hérétique qui tombe quelque part entre le lyrisme et l'ironie.
François Dubois
Erection de l’obélisque de Louxor sur la place de la Concorde le 25 octobre 1836
Huile sur toile
1836
Pavillon de l’Arsenal
Paris
Rue du Port
Convivencia
Fondation van Gogh à Arles
van Gogh à Arles
Van Gogh à Saint Rémy de Provence (musée Estrines)
Espace van Gogh
Arles
Espace van Gogh
Les cartes postales
Pinède
La section du PCF place Lamartine
Les nouveaux quais au bord du Rhône
Vue de Trinquetaille
Mon dessin
Arles
"Le Rhône à Trinquetaille"
Dans un café
Jardin du Calendal
Arles
Rue des Arènes
Arles
Sieste musicale
Lecture poésie (désolée, je n'ai pas noté le nom du poète..)
Si vous n'avez rien à faire, courez voir "Dalton Trumbo".
Ca parle d'un des scénaristes américains communistes au moment du MacCarthisme et ca explique comment il a survécu à l'exclusion. Très fort
Auteur du livre « Entre les mains des Kurdes », 2016
Aux éditions des Fédérés.
Les Kurdes de l’Irak, de la Syrie et de la Turquie sont intervenus pour sauver les 200 000 Yezidis menacés par Daesh et ont ouvert un couloir humanitaire.
Le combat des Kurdes contre Daesh est un combat héroïque car ils combattent réellement avec les armes à la main. Ils n’ont aucune protection, ni gilet par balle, ni armes lourdes.
Dans ce combat, les femmes ont toute leur place. On en connaît les combattantes, mais elles luttent depuis très longtemps, et elles ont commencé à s’organiser dans les années 1978 quand le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) s’est créé avec Abdullah Öcalan.
Il y avait une femme Sakine Cansiz, une des trois qui ont été assassinées à Paris il y a trois ans (en 2013), qui a été une des fondatrices de ce parti. Elle a toujours lutté pour la cause des femmes et pour leurs droits. C’est grâce à eux que les femmes ont pu prendre leur place dans une région du monde qui est très machiste, et où les femmes n’ont aucun droit et sont pratiquement des esclaves. Il n’ y a qu’à voir dans les pays alentours (par exemple, l’Arabie Saoudite).
Les Kurdes proposent un projet politique qui est très féministe. Il est axé sur le droit des femmes. Ici, cela peut paraître plus banal peut-être, même si en France il y aurait des choses à dire sur les droits des femmes. Mais, dans cette région du monde, ce qu’ils font, c’est plus que révolutionnaire. C’est pourquoi Daesh s’en est pris aux Kurdes en premier. Ils auraient pu s’en prendre à Bagdad ou à Damas et envahir la capitale. Ils sont montés se battre contre les Kurdes, que ce soit en Irak ou en Syrie. Ils ont été la première cible de Daesh, à cause du pétrole, mais aussi à cause du projet politique complètement à l’opposé du fascisme que propose Daesh (vente des femmes par exemple). Les Kurdes proposent une société très féministe, démocratique, avec une autonomie démocratique que Josiane nomme « à l’horizontale » et participative, avec des comités de quartier où chacun parle des problèmes et décide de leurs solutions. Les Kurdes n’ont pas d’ennemis et chacun compte pour un et a les mêmes droits que l’on soit Turc, Arabe, Chaldéen, etc. Ils ont un respect pour tout ce qui est personnel, par exemple l’homosexualité, la religion. Ils sont pour un système laïc avec les mêmes droits pour tout le monde. Ce n’est pas qu’un projet car ils l’ont mis en place depuis 2012 dans le nord de la Syrie, dans le Kurdistan syrien.
Dans les instances politiques il y a toujours un homme et une femme. C’est codirigé à parité, dans les mairies par exemple en Turquie ou en Syrie. Dans la société, elles ont créé des associations pour l’éducation des femmes et élever leur niveau. Elles se battent courageusement. Il y a des régiments entiers de femmes. Les combattantes sont des jeunes filles, par exemple en Syrie. Elles avaient un travail ou étaient étudiantes et elles sont venues se battre contre Daesh pour sauver la ville de Kobané et leurs habitants. Dans les Bouches du Rhône, les réfugiés kurdes sont plus de 12 000 et sont organisés avec un système de parité aussi. Leur centre culturel qui s’appelle « la maison démocratique des Kurdes de Marseille » est dirigé par un président et une présidente.
Elles sont plus actives que les Françaises et ont plus de place dans la société que les femmes en France. Elles sont présentes dans tous les domaines. Dans toutes les réunions, le sujet des femmes est abordé. Tout le monde en parle que ce soit les hommes et les femmes. Elles sont très motivées et elles ont des responsabilités à tous les niveaux de la société. Elles sont à l’égal des hommes.
Les Kurdes de Turquie, d’Iran et de Syrie ont la même démarche politique progressiste féministe.
L’exception pour les femmes est l’Irak, pays où c’est différent. Ils ont un Kurdistan autonome capitaliste. Ils sont autonomes depuis qu’il y a eu la guerre en Irak* grâce à l’appui des Américains. Ils ont leur propre assemblée, leur propre président. Les femmes ne sont pas plus impliquées que cela que dans notre pays.
Stand à la fête de l'Humanité.
Irak, PC, Tarik Al Shaab
* Irak:
Rouen
Têtes féminines
Pierre ou coquille
1ere dynastie de Lagash, vers 2 500 avant J-C.
Sur le même sujet:
Le 8 mars 2016 RV sur Arte à 22H 35 : Kurdistan la guerre des filles
De Paris à Kobané, en Syrie, du Kurdistan de Turquie au Sinjar en Irak, une immersion dans le mouvement des femmes kurdes luttant contre Daech, héritières d'une longue tradition de résistance.
Il y a plus d'un an, le monde saluait le courage des femmes kurdes des Unités de défense féminines (YPJ) qui avaient combattu pour libérer la ville symbole de Kobané, en Syrie, du joug djihadiste. Aujourd'hui, kalachnikov en main, elles poursuivent leur résistance massive face à Daech, dans le Rojava, le Kurdistan syrien, comme au Sinjar, en Irak, vaillantes et militantes, des chants partisans aux lèvres. Leur slogan ? "Femmes ! Vie ! Liberté !" Mais cette armée de femmes, formée militairement et politiquement, qui porte haut le projet d'une société affranchie du patriarcat, s'inscrit dans un mouvement de résistance déjà ancien, créé il y a bientôt quarante ans en Turquie autour de Sakine Cansiz. Cofondatrice du PKK, assassinée, avec deux autres militantes kurdes à Paris le 10 janvier 2013, cette icône a inspiré des générations de femmes. Elle est en outre à l'origine des communautés et des camps d'entraînement installés dans les montagnes du Qandil, au nord de l'Irak, qui rassemblent des femmes kurdes de la région mais aussi d'Europe, unies par un même idéal : construire des sociétés démocratiques, multiethniques et multiconfessionnelles pour, peut-être, changer l'histoire du Proche-Orient.
Féminisme
Suivant depuis plus d'une décennie ces héroïnes kurdes en treillis, Mylène Sauloy est allée une nouvelle fois à leur rencontre fin 2015, et s'emploie ici à restituer pas à pas leur héritage. Jeunes recrues ou plus anciennes, ces femmes, qui luttent en première ligne contre Daech, défendent dans le même mouvement - et le même sourire -, l'égalité et la parité.
Passionnant, ce documentaire en forme d'hommage montre comment une utopie salvatrice s'inscrit sur le terrain. Un féminisme vivifiant, servi par une remarquable maturité politique.
Documentaire en 2015 : l'essentiel, notre critique, les informations détaillées, la bande annonce, les diffusions TV, à revoir sur le Web et les séances de cinéma.
A Mossoul, les "mères de la place Minassa" veulent connaître le sort de leurs disparus.
Chaque vendredi, depuis la libération de Mossoul des griffes des jihadistes en juillet 2017, des Irakiennes se réunissent place al-Minassa, pour connaître le sort de leurs proches disparus.
Les autres disparus ? Beaucoup "ont été exécutés par l'EI et leurs cadavres ont été jetés à Khafsa", affirme Sami Fayçal de l'Organisation unie des droits de l'Homme à Mossoul. Ce lieu dont le nom signifie "gouffre", pourrait être l'un des plus grands charniers d'Irak
Mossoul (Irak) - Chaque vendredi, depuis la libération de Mossoul des griffes des jihadistes en juillet 2017, des Irakiennes se réunissent place al-Minassa, pour connaître le sort de leurs proch...
Iran - Primée défenseuse des droits de l'homme, Nasrin Sotoudeh, a été arrêtée mercredi, selon son mari dans un post Facebook.
"Il y a quelques heures, Nasrin a été arrêtée à la maison et transférée à Evin," la fameuse prison de Téhéran où on détient de nombreux prisonniers politiques, a écrit son mari Reza Khandan.
Sotoudeh, 55, l'une des rares défenseuses des droits de l'homme en Iran, a récemment représenté plusieurs femmes arrêtées pour protester contre le port obligatoire du foulard.
La police de Téhéran a déclaré en février que 29 femmes avaient été détenues pour avoir posé en public sans leur foulard au cours des semaines précédentes.
Amnesty International a qualifié la détention de Sotoudeh de "scandale".
Iran's award-winning human rights lawyer Nasrin Sotoudeh was arrested on Wednesday, her husband said in a Facebook post. "A few hours ago Nasrin was arrested at home and transferred to Evin," ...
En Iran, le hashtag #MyCameraIsMyWeapon devient viral depuis plusieurs semaines. Les Iraniennes qui refusent de porter le voile utilisent ce mot-clef pour poster des vidéos ...
Nasrin Sotoudeh ou Nasrine Sotoudeh, née le 3 avril 1963, est une avocate iranienne, spécialiste des droits de l'homme, récipiendaire du Prix Sakharov, et actuellement prisonnière politique en Iran.
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NASRIN SOTOUDEH MET FIN À 46 JOURS DE GRÈVE DE LA FAIM.
Afin de dénoncer les abus des autorités iraniennes, cette brillante avocate a entamé une grève de la faim. Après avoir été hospitalisée, dans un état critique, elle y met fin. Dans cette lettre, Nasrin Sotoudeh explique son action depuis la prison.
(…) À nouveau, j’insiste sur la légalité et la légitimité des revendications de tous les prisonniers qui ont participé à ce mouvement de grève de la faim. Ils demandent le respect des lois votées par le parlement iranien et la libération de tous les prisonniers politiques. Je répète que le système judiciaire est l’unique responsable de l’application des lois et de la réduction des peines sévères.
Afin de dénoncer les abus des autorités iraniennes, cette brillante avocate a entamé une grève de la faim. Après avoir été hospitalisée, dans un état critique, elle y met fin. Dans cette l...
PARIS : Marche blanche pour Sakine, Fidan et Leyla.
PARIS, Ce mercredi 9 janvier, une marche blanche est organisée pour commémorer le 6e anniversaire de l’assassinat des militantes kurdes Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez le 9 janvier 2013 à Paris.
(…) Les trois femmes ont été ciblées et assassinées pour leurs activités politiques au nom du peuple kurde. Sakine était une militante de longue date et membre fondatrice du PKK.
(…) Fidan et Leyla étaient également des activistes dévouées à la cause kurde.
PARIS, Ce mercredi 9 janvier, une marche blanche est organisée pour commémorer le 6e anniversaire de l'assassinat des militantes kurdes Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez le 9 janvier 2013
Etape 1 réalisée: titre, enchaînements-fondus, réglage du son. Il y a encore des progrès à faire, mais j'avance!
Avignon - Les Illuminations de Noël
Illuminations de Noël à Avignon
La porte de l'église des Carmes à Avignon
La gare TGV d'Avignon
L'opéra d'Avignon
Le pont d'Avignon
Sur le pont d'Avignon
Musée Calvet
Avignon
Entrée gratuite
Isidore Dagnan
Marseille, 1790 – Paris, 1873
Vue d’Avignon et du pont Bénézet
Huile sur toile
Le théâtre de la Comédie à Avignon
Café à l'Utopia à Avignon
Place des Carmes à Avignon
Musée Calvet
Avignon
Entrée gratuite
Figure féminine de Jacquemart
Avignon, XVIIe siècle
Bois de figuier autrefois peint
Provient du beffroi de l’ancien Hôtel de Ville.
Terrasse de café rue de la République à Avignon
Cinéma l'Utopia à Avignon
Villeneuve-lez-Avignon
Villeneuve lez Avignon - La Chartreuse
Tag de la ville d'Avignon
Palais des papes
Théâtre à Vedènes
Vedennes, une autre scène
Le Palais des papes
Palais des papes
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Musée du Petit Palais
Entrée gratuite
Avignon
Le grand schisme d’Occident
Dernier quart du XIVe siècle
De 1378 à 1417, un schisme divisa la chrétienté en deux camps adoptant soit le parti du pape avignonnais, soit celui du pape romain. A Avignon, deux papes régnèrent alors : Clément VII (1378 – 1394) et Benoît XIII (1394 – 1411).
Après que le roi de France Charles VI lui eut retiré son soutien en 1398, Benoît XII, assiégé, choisit de s’enfuir en 1403.
Musée Calvet
Avignon
Entrée gratuite
Jules-Romain Joyant
1803- 1854
L’ancien Palais des Papes à Avignon, 1845
Huile sur toile
Musée Calvet
Avignon
Entrée gratuite
Léo von Klenze
Schladen, 1784 – 1864
Vue de Notre-Dame des Doms et du Palais des Papes en 1850
Huile sur toile
Avignon (Vaucluse)
Palais des Papes
Tour de la Garde-Robe, chambre du cerf, mur est.
Retour de la chasse au faucon (1343)
Clément VI, pape mécène, orne son cabinet particulier d’images profanes évoquant l’art de la chasse. Le monde végétal est ici traité sur un mode de transparence presque « impressionniste ». Les personnages ont une posture autant précieuse que hiératique. Deux seigneurs conversent, l’un au manteau bleu azur doublé de blanc sur une tunique écarlate tient un faucon sur son poing droit ganté, l’autre, dague au côté, porte son manteau sur l’épaule.
Cité de l’architecture et du patrimoine
Paris
Avignon (Vaucluse)
Palais des Papes
Tour de la Garde-Robe, chambre du cerf, mur nord.
Le dénicheur ( ?) (1343)
Dans un arbre, un jeune garçon agrippé à une branche et ayant déniché un oiseau se retourne, montrant son butin à son compagnon resté au sol. L’association de scènes de chasse seigneuriales et populaires montre la diversité des sujets profanes et témoigne du parti pris à la fois illusionniste et naturaliste de l’interprétation de la nature au milieu du XIVe siècle.
Cité de l’architecture et du patrimoine
Paris
Musée Calvet
Avignon
Entrée gratuite
François-Marius Granet
Aix-en-Provence, 1775 – Aix-en-Provence, 1849
Réception de Jacques de Molay dans l’Ordre du Temple en 1292
1843
Jacques de Molay, né entre 1240 et 1250, fut le 23e et dernier grand-maître de l’Ordre du Temple. Suite aux multiples accusations pesant sur l’Ordre, et à divers démêlés politiques, Clément V, premier pape d’Avignon, dissout celui-ci en 1312. Jacques de Molay fut arrêté sur l’ordre de Philippe IV le Bel, torturé par l’inquisition et brûlé en 1314.
Giovanni Boccaccio
Exécution des chevaliers templiers
Des cas des hommes nobles et femmes.
15e s
Chinon
Château
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Place Pie
Marché des créateurs
Pierre Grivolas
Avignon, 1823 – 1906
Le marché de la place Pie à Avignon
Salon de 1868
Musée Calvet
Avignon
Festival OFF
Gueules d'affiche
Le festival d'Avignon
Avignon sous les eaux
Détail
Femme plongeuse
Crue du Rhône
BRETONNES SUR LA PLACE DEVANT LE PALAIS DES PAPES
Avignon la nuit
Nuit
Le Palais des papes minéral
Philippe Sauvan
1697 – 1792
La Souveraineté
1749
Détrempe sur toile
L’oeuvre a été commandée à Sauvan, principal peintre actif à Avignon, en vue de remercier le pape Benoît XIV, visible dans le médaillon central pour l’aide qu’il apporta à ses sujets lors de la disette de 1746 – 47.
Musée Calvet
Avignon
Trouée de soleil
Avignon tagguée
Avenio vulgo
Atlas van Loon
1649
Le collectif photo "Diversité unie" expose plus de 150 photographies sur le thème "DUO".
L'exposition se déroulera dans le centre d'Avignon, au Cloître Saint Louis (20 rue du portail Boquier ) sur 2 étages.
Nous vous invitons à venir découvrir notre travail du 9 au 18 décembre, nous rencontrer ... et peut être serez vous tentés cette année de glisser de l'art au pied du sapin !
Vous serez les bienvenus au vernissage qui aura lieu le samedi 12 décembre à partir de 18h où nous vous attendons tous .
Les vaches paissent devant la maison Jean Vilar
Pendant un spectacle de rue à Avignon, un participant surprend le meneur de jeu, pour le plaisir de tous. Il sait manier un nunchaku!
Danse dans la cour d'Honneur du Palais des papes
Danseur de rue
Les danseurs anonymes
Les danseurs anonymes
Les danseurs anonymes
Danseuse de rue
Danseuse
Danseurs en couple
Danseurs à terre
Danseuse assise
Le Palais du Roure ou l’Hôtel de Baroncelli-Javon, est un hôtel particulier d’Avignon construit au XVᵉ siècle, aujourd’hui transformé en musée.
Palais du Roure
Jeanne de Flandreysy (1874 – 1959)
Née à Valence, sous le nom de Mellier, elle est reconnue pour ses travaux littéraires et journalistiques. Ses rencontres avec Frédéric Mistral et Folco de Baroncelli* encouragent sa passion de la culture méditerranéenne ; elle amasse alors quantité de documents, mobilier et objets en lien avec la Latinité.
En 1918, elle saisit l’opportunité d’acheter le Palais du Roure. Elle y entame aussitôt les restaurations nécessaires, y place ses collections et son importante bibliothèque méridionale, et accueille écrivains, peintres et musiciens.
En 1936, elle épouse Emile Espérandieu, grand archéologue, membre de l’Institut, fouilleur d’Alésia et rédacteur du Recueil général des bas-reliefs de la Gaule romaine. Elle décède le 15 mai 1959, laissant le souvenir de sa culture, de son énergie et de sa volonté.
Folco de Baroncelli
Musée de la Camargue
Arles
Joseph Étienne Frédéric Mistral est un écrivain et lexicographe français de langue d'oc, né le 8 septembre 1830 à Maillane, où il est mort le 25 mars 1914 et où il est inhumé.
3 Avignonnaises:
Laure à la fleur
17e siècle
Anonyme
1 femme dans un sofa
Jeanne de Flandreysy
Palais du Roure
En 1918, la femme de lettres Jeanne de Flandreysy rachète à Avignon le palais du Roure.
Confrontée au régime fasciste, elle montre une certaine bienveillance à son égard, rencontre Mussolini et est un témoin privilégié de l’évolution des relations entre les deux pays pendant la période.
Le palais du Roure est une demeure avignonnaise qui fut pendant plus de quatre siècles le lieu d'habitation de la famille Baroncelli, illustre dans l'histoire florentine pour l'assassinat perpétr...
Comme vous le savez, le Théâtre des Vents sera fermé pour des raisons financières jusqu'au mois d'avril prochain. Cette triste actualité est l'occasion pour tous les acteurs (artistes, commerçants, spectateurs, adhérents, compagnies, associations, etc...) de manifester leur attachement pour le Théâtre et ses activités, et ainsi, inciter la ville d'Avignon à le soutenir financièrement de façon significative en 2O16.
Pour se faire, nous vous invitons à cliquer sur le lien ci-dessous afin de compléter le formulaire de soutien (mairie en copie) et nous vous donnons rendez-vous le samedi 2O février à 11HOO devant la mairie afin de remettre au maire - ou à son représentant - l'ensemble des témoignages de soutien récoltés.
« Des artistes s’engagent dans la rue pour une Europe sociale et pas dans un but financier. En Grèce, la protection sociale recule et un quart de la population n’a pas de couverture de santé. Les lits d’hôpitaux ferment, des femmes enceintes renoncent à des soins.
L’évasion fiscale et le travail dissimulé n’existent pas qu’en Grèce.
La monnaie est utilisée comme arme contre la souveraineté populaire.
En Grèce, le gouvernement sait faire des choses et est bloqué alors qu’en France, le gouvernement ne fait rien.
Il y a eu peu de réactions en France : la presse cachait les choses et les syndicats s’occupaient de leurs problèmes.
Il ne faut plus regarder les spectacles, la vie. Il faut changer les choses et devenir acteur.
Il est possible de faire tomber les hommes politiques de leur estrade.
La parole est un acte.
Nous sommes en mesure de condamner. »
Textes lus :
Une rougeur au zénith d’Hugo (Utopie)
Quoi ! ce n'est pas réel parce que c'est lointain !
Ne croyez pas cela, vous qu'un hasard hautain,
Une chance, une erreur, l’invention des prêtres ...
On dit : utopie ! Eh bien non ;
Ayez peur. Vous avez ici bas le canon,
Le trône, l'échafaud, l'obus, le knout, le glaive ;
Mais nous ...
LE POUVOIR DES FABLES
A M. De Barillon
La qualité d'Ambassadeur
Peut-elle s'abaisser à des contes vulgaires ?
Vous puis-je offrir mes vers et leurs grâces légères ?
S'ils osent quelquefois prendre un air de grandeur,
Seront-ils point traités par vous de téméraires ?
Vous avez bien d'autres affaires
A démêler que les débats
Du Lapin et de la Belette.
Lisez-les, ne les lisez pas ;
Mais empêchez qu'on ne nous mette toute l'Europe sur les bras.
Que de mille endroits de la terre
Il nous vienne des ennemis,
J'y consens ; mais que l'Angleterre
Veuille que nos deux Rois se lassent d'être amis,
J'ai peine à digérer la chose.
N'est-il point encore temps que Louis se repose ?
Quel autre Hercule enfin ne se trouverait las
De combattre cette Hydre ?
Et faut-il qu'elle oppose
Une nouvelle tête aux efforts de son bras ?
Si votre esprit plein de souplesse,
Par éloquence, et par adresse,
Peut adoucir les coeurs, et détourner ce coup,
Je vous sacrifierai cent moutons ; c'est beaucoup pour un habitant du Parnasse.
Cependant faites-moi la grâce de prendre en don ce peu d'encens.
Prenez en gré mes voeux ardents,
Et le récit en vers qu'ici je vous dédie.
Son sujet vous convient ; je n'en dirai pas plus :
Sur les Eloges que l'Envie
Doit avouer qui vous sont dus,
Vous ne voulez pas qu'on appuie
Dans Athènes autrefois peuple vain et léger,
Un Orateur voyant sa patrie en danger,
Courut à la Tribune ; et d'un art tyrannique,
Voulant forcer les coeurs dans une république,
Il parla fortement sur le commun salut.
On ne l'écoutait pas : l'Orateur recourut
A ces figures violentes
Qui savent exciter les âmes les plus lentes.
Il fit parler les morts, tonna, dit ce qu'il put.
Le vent emporta tout ; personne ne s'émut.
L'animal aux têtes frivoles
Etant fait à ces traits, ne daignait l'écouter.
Tous regardaient ailleurs : il en vit s'arrêter
A des combats d'enfants, et point à ses paroles.
Que fit le harangueur ?
Il prit un autre tour.
Cérès, commença-t-il, faisait voyage un jour
Avec l'Anguille et l'Hirondelle :
Un fleuve les arrête ; et l'Anguille en nageant,
Comme l'Hirondelle en volant,
Le traversa bientôt.
L'assemblée à l'instant Cria tout d'une voix :
Et Cérès, que fit-elle ? -
Ce qu'elle fit ? Un prompt courroux
L'anima d'abord contre vous.
Quoi, de contes d'enfants son peuple s'embarrasse !
Et du péril qui le menace
Lui seul entre les Grecs il néglige l'effet !
Que ne demandez-vous ce que Philippe fait ?
A ce reproche l'assemblée,
Par l'Apologue réveillée,
Se donne entière à l'Orateur :
Un trait de Fable en eut l'honneur.
Nous sommes tous d'Athènes en ce point ; et moi-même,
Au moment que je fais cette moralité,
Si Peau d'âne m'était conté,
J'y prendrais un plaisir extrême,
Le monde est vieux, dit-on : je le crois, cependant
Il le faut amuser encore comme un enfant
Avignon
Musée lapidaire
Mosaïque pseudo emblema d’une mosaïque avec Hercule et Hesione.
Milieu du IIIe siècle après J-C.
Provenance : Saint-Paul-Trois-Châteaux.
"Ecartons tout ce qui ressemble au couvent, à la caserne, à l'enseignement, à l'alignement. Que les peuples d'Europe prennent garde à un despotisme refait à neuf dont ils auraient un peu fourni les matériaux. La chose cimentée est une philosophie spéciale pourrait bien durer." William Shakespeare Victor Hugo
Intervention :
Compagnie Vivi
Metteur en scène : Tilemachos
Le peuple français est toujours à côté de nous. Nous espérons que la situation va s’améliorer. Pas au niveau politique, cela se fait déjà. Mais à un autre niveau. Au niveau essentiel avec de réelles améliorations de notre vie quotidienne en Grèce. Vous savez que notre situation était pitoyable. Mais, nous espérons.
Nous présentons « Œdipe roi » de Sophocle à Avignon. C’est assez symbolique. Vous savez, la tyrannie a toujours existé et continue d’exister sous n’importe quelle forme.
Merci pour cet accueil chaleureux et je vous souhaite plein de bonnes choses.
Je vous remercie.
Débats organisés par Femmes Solidaires
Débats 07/2016
Lu sur le site du Cidefe :
Le CIDEFE (Centre d’Informations, de Documentation, d’Etudes et de Formation des élus), est une association au service des élus. Cette association se compose notamment d’antennes, véritables relais départementaux permettant d’assurer un service de qualité au plus près des élus locaux.
Le Cidefe dispose d’un Conseil scientifique, organe consultatif, composé de personnalités hautement représentatives de domaines d’activité et de recherche qui croisent, complètent et enrichissent les champs multiples de compétences et de préoccupations des collectivités territoriales
Le Cidefe fait son théâtre à Avignon
Rendez-vous lundi 18 juillet à
10 h 00 à L’arrache Coeur pour le spectacle « sous la peau des filles » de la compagnie Entre deux Caisses, spectacle mis en scène par Juliette. La représentation sera suivie d’un échange sur le genre et l’égalité femmes - hommes en présence notamment des membres du groupe, de Gaëlle Abily, adjointe au maire de Brest et Membre du Haut Conseil pour l’Egalité, de Leïla Cukierman, ancienne directrice du théâtre Antoine Vitez d’Ivry. (Attention, le nombre de place est réduit. Les inscrits seront prioritaires)
17 h 30 à la Maison Jean-Vilar : débat à la Maison Jean-Vilar autour du thème « la culture est-elle toujours émancipatrice ? ». Quelle est aujourd’hui la place réservée à la culture notamment dans les politiques publiques, au regard du rôle émancipateur loué par la plupart des politiques ? Qu’en est-il au niveau international ? Parmi les intervenants, Jean-Louis Sagot-Duvauroux, philosophe, dramaturge et auteur de théâtre.
Mercredi 20 juillet
14 h 00 au cinéma Utopia autour du film « Le réveil des reines » réalisé par Paule Sardou dans les quartiers nord de Marseille. La séance se poursuivra autour d’un échange en présence de la réalisatrice et de membres de l’équipe
13 juill.11:00 au16 juill.18:30
LE 13 JUILLET À 11 H chapelle Sainte-Praxède, 35 rue Joseph Vernet (entrée rue Félix Gras) : Les politiques publiques pour l’Art et la Culture : urgence !!
en partenariat avec l’ANECR
Angeline Barth,secrétaire générale adjointe de la fédération CGT/Spectacle,
Marie-José Malis, directrice du théâtre de la Commune d’Aubervilliers,
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF,
Florian Salazar-Martin, président de la FNCC,
Alain Hayot, délégué national du PCF à la Culture.
LE 14 JUILLET À 11 H calade de la Maison Jean Vilar : Art, culture, émancipation face à la prolétarisation du peuple.
conférence-débat avec Roland Gori psychanalyste, animateur de l’Appel des appels.
LE 15 JUILLET À 17 H cinéma Utopia, 4 rue des Escaliers Sainte-Anne :Rester vertical d’Alain Guiraudie, sélection officielle du Festival de Cannes projection en avant-première suivie d’un débat avec le cinéaste.
LE 16 JUILLET DE 16 H À 18 H 30 bar de la Manutention, 4 rue des Escaliers Sainte-Anne : Contre le danger identitaire, l’identité-relation au cœur de la vie culturelle et du travail artistique.
Carte blanche aux Artivistes, collectif de réflexion sur l’art au cœur du combat politique avec la participation de : Edwy Plenel, journaliste, directeur de Médiapart ;
Sylvie Glissant, directrice de l’Institut du Tout-Monde ;
Alain Hayot et des membres des Artivistes.
Avignon, spectacle de rue : le bike contrôlé. Juillet 2014.
Il défie les lois de l’apesanteur, avec beaucoup d’humour (« Après cinq spectacles, cela va peut-être marcher aujourd’hui ! »), il freine pile poil, il cherche à écraser le ballon avec sa roue, il tient en équilibre sur la roue arrière, il avance au rythme de la musique,......il saute sur tout ce qui ne bouge pas, il calcule les distances et les possibilités de se mouvoir, il avance, il recule, il tourne, il fait demi-tour, il saute.Avec beaucoup de maîtrise, de self-contrôle, il est époustouflant et dégage beaucoup d’énergie et de gaîté.
Ils sont grands uniquement parce que nous sommes à genoux
Sol LeWitt
Wall Painting
2004
Acrylique sur mur
Collection Lambert
Le centre d'art à Avignon, la collection Lambert et sa cour intérieure qui vibre sous les reflets du soleil et le souffle du vent.
Sol LeWitt
1928 Hartford, Etats-Unis – 2007, New York
Wall Drawing #538
1984 – 1988
Encre sur mur
Sol LeWitt
Wall Painting
2004
Acrylique sur mur
Après avoir étudié à l'Université de Syracuse, école des beaux-arts de l'État de New York et à la Cartoonists and Illustrators School, il voyage en Europe où il se familiarise avec les maîtres de la peinture avant de servir dans l'armée américaine pendant la guerre de Corée. Plus tard, il travaillera comme graphiste dans le cabinet de l'architecte Pei ce qui lui permet de mettre en forme ses idées artistiques, notamment en ce qui concerne la précision géométrique. De plus, sa collaboration avec des architectes lui fait réaliser que les artistes ont parfois besoin de l'aide d'autrui. Dans les années 1950, il s'installe à New York et travaille comme graphiste pour le journal pour jeunes filles, Seventeen. En 1960, il est recruté en tant que réceptionniste par le Museum of Modern Art. Inspiré et rattaché à l'art minimal américain, il s'en détachera pour développer une pratique artistique plus conceptuelle. Il aura sa première rétrospective en 1978–1979 au Museum of Modern Art, New York.
Avignon "OFF"
Tag "le saxophoniste"
A la Maison Jean Vilar.
Juillet 2017
Dessins de costumes de théâtre
Femme en robe longue
Homme à la fourrure
Homme aux bottes noires
Homme à la cape rouge
Homme au manteau rouge
Mendiant
Chasseur
Paysan à la clé
Antigone de Sophocle
Régie de Jean Vilar
Costume Gustave Singier, 1960
Ismène: Christiane Minazzoli
Vue de Villeneuve-lez-Avignon
Exposition au rez-de-chaussée de la maison Jean Vilar:
Mélange de mes photos dans mon aquarelle…
Avignon - Hôtel Berton De Crillon
L'hôtel a été construit à partir de 1648 pour Louis III de Berton (1608-1695), baron de Crillon, seigneur de Saint-Jean-de-Vassols, colonel général de l'artillerie pontificale.
Masque de femme
Avignon - Hôtel Berton De Crillon
Le Palais des Papes à Avignon
On voit à gauche l’emplacement de la première mairie d’Avignon. De l’autre côté de la roche, c’est l’arrière du Palais des Papes.
Le Palais des papes d'Avignon est la plus grande des constructions gothiques du Moyen Âge. À la fois forteresse et palais, la résidence pontificale fut pendant le XIVᵉ siècle le siège de la chrétienté d'Occident.
Musique gratuite sur Musopen – Bartók 2 Romanian Folk Dances, Op. 8a dance 1
Le camp de Saliers, un camp d’internement pour les nomades
Suite au décret du 6 avril 1940 interdisant la citoyenneté aux nomades sur la totalité du territoire métropolitain, la répression s’est amplifiée contre les Tsiganes français et étrangers conduisant à l’ouverture de nombreux camps d’internement en France.
Créé en 1942 par le régime de Vichy, le camp de Saliers a été le seul camp ouvert en zone sud.
Son caractère concentrationnaire et raciste est évident. Il s’agit de pallier la surpopulation du camp de Rivesaltes. Raciste car il regroupait des personnes selon un caractère racial : « les Gitans » ou « nomades ». La majorité des internés sont des Français ce qui démontre que pour le régime de Vichy la « race » prime sur la nationalité et abolit la citoyenneté.
Les autorités voulaient faire du camp de Saliers un instrument de propagande pour répondre aux nombreuses critiques venues de l’étranger sur les conditions d’internement dans les camps français. Or les réalités matérielles de vie sont négligées. Les travaux de construction des cabanes ne sont pas terminés lorsque arrivent 60 hommes en provenance du camp de Rivesaltes les 3 et 21 juillet 1942. Ils vont devoir participer à la construction des cabanes.
Fin novembre 1942, un premier convoi arrive de Rivesaltes. En décembre, on décompte 380 internés à raison de 10 à 15 personnes par cabane de 4x8m. La situation sanitaire est déplorable. Les familles subissent « un séjour particulièrement odieux » (d’après un rapport de l’Inspecteur des camps du 5 décembre 1944) : état d’inachèvement des cabanes, contact direct avec les parasites, manque de luminosité, chauffage insuffisant, pas d’adduction d’eau potable*, ni d’évacuation d’eau usée, sous-alimentation.
Au total, 677 personnes vont être enfermées dans ce camp.
227 enfants ont dû être évacués, c’est-à-dire arrachés des bras de leur mère et confiés à des organismes divers. 25 personnes, dont 6 enfants, sont morts ici des conditions déplorables d’hébergement.
Par confusion avec un camp militaire nazi, le camp subit une attaque aérienne alliée le 18 août 1944.
211 internés en profitent pour s’évader.
Le camp quasiment vide ne sera dissout que le 15 octobre 1944.
Ses vestiges seront détruits en 1952 après le tournage de G.H.Clouzot Le salaire de la peur.
Ma bister ! (N’oublions jamais !, en romanes)
La sculpture est réalisée par Jean-Claude Guerri et le monument a été inauguré en 2006.