Pierre Godolin 

Poète XVIIe s

Toulouse

Imaginons maintenant l'inverse. Pourquoi pas un homme nu aux pieds d'une femme?

Cela donnerait ceci:

Jean-Baptiste Botul

La vie sexuelle d’Emmanuel Kant

Editions Mille et une nuits – 2 000

Première parution : après 1946.

Botul a connu une brève liaison avec la princesse Marie Bonaparte en 1920 et  a probablement rencontré Stephan Zweig en 1934.

p 72 :

Le désir voyeur des savants du XIXe siècle.

Botul explique que « la chose en soi » qui se situe entre les jambes des prostituées se retrouve partout, dans les décors des universités, des théâtres.

« L’artiste a seulement épilé la chose en soi de ces filles qu’on a rebaptisées Raison, Tempérance, Justice, Vertu, pour les besoins du métier, mais qui dans le civil, s’appelaient Mimi, Lulu, Kiki, Fernande, etc. »

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Ernest Pignon Ernest

Affiches 1965 - 2019

Emmanuel Kant

Les derniers jours  

Fête de l'Humanité 2019

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Film sorti le 16 mars 2022.

"5 nouvelles du cerveau"

Kant : "La main est la fenêtre ouverte sur l'esprit".

L'Humanité.

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Tag

Emmanuel Kant

"L'oeuvre d'art n'est pas la représentation d'une belle chose mais la belle représentation d'une chose".

Calvi

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Critics suggest naked figure is a missed opportunity but artist Maggi Hambling defends her work.

• Why I hate the Mary Wollstonecraft statue: would a man be ‘honoured’ with his schlong out?

`` L'insulte '': la sculpture de Mary Wollstonecraft déclenche un contrecoup.

Les critiques suggèrent que la silhouette nue est une occasion manquée, mais l'artiste Maggi Hambling défend son travail.

• Pourquoi je déteste la statue de Mary Wollstonecraft: un homme serait-il «honoré» de la sorte?

(…) “I don’t for a second want to take away from the huge effort that they put into doing this, it is an amazing achievement, but what a waste of all the hard work,” she said.

“I honestly feel that actually this representation is insulting to her. I can’t see her feeling happy to be represented by this naked, perfectly formed wet dream of a woman.”

«Je ne veux pas une seule seconde enlever l’énorme effort qu’ils ont déployé pour y parvenir, c’est une réalisation incroyable, mais quel gaspillage,  tout ce travail acharné», a-t-elle déclaré.

(…) «J'ai honnêtement le sentiment que cette représentation lui est insultante. Je ne peux pas la voir se sentir heureuse d'être représentée par ce rêve humide, nu et formé d'une femme. "

Clémence Isaure 

Paris 

Jardin du  Luxembourg 

Clémence Isaure est un personnage médiéval semi-légendaire, à qui on attribue la fondation ou la restauration des Jeux Floraux de Toulouse au début du XVᵉ siècle grâce à un legs par lequel la ville de Toulouse décernerait chaque année des fleurs d’or et d’argent aux meilleurs poètes.

Les débuts des Jeux floraux, en 1323, sont connus depuis longtemps; leur histoire repose sur des documents dont l'authenticité est au-dessus de tout soupçon, et le nom de Clémence Isaure n'apparaît pas dans ces documents.

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Dzherih Anzhela

"La voyeuse aux jumelles"

Ca change!

Dzherih Anzhela

Russie.

The main object of art Angela Jerry - people.

Ironic attitude to life is reflected in the works, allowing infinite model form.

L'objet principal de l'art Angela Jerry - les gens.

L'attitude ironique à l'égard de la vie se reflète dans les œuvres, permettant une forme de modèle infinie.

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Autoportrait.

Berlin - 1933.

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Marianne Breslauer, née le 20 novembre 1909 à Berlin et décédée le 7 février 2001 à Zurich, est une photographe professionnelle allemande.

Marianne Breslauer naît dans une famille de la bourgeoisie allemande, d'origine juive.

Née de l'architecte Alfred Breslauer et de Dorothea, fille de Julius Lessing, directeur du Kunstgewerbemuseum (« musée des Arts décoratifs ») de Berlin, Marianne Breslauer découvre la photographie chez le galeriste Flechtheim à Berlin lors d'une exposition de Hanna Ries.

Marianne Breslauer a pris des cours de photographie à Berlin avant d'arriver à Paris à l'age de 20 ans. Elle rencontre Man Ray et très vite se retrouve dans le milieu artistique du quartier Montparnasse. Oubliée pendant des années, son œuvre a été redécouverte dans les années 80, et cette exposition lui rend hommage.

Marianne Breslauer est encore sous influence de Kertész et Brassaï. Mais elle assimile vite les préceptes de la Nouvelle Vision, qui expurge la photographie de son atavisme beaux-arts pour en faire un moyen d'expression autonome, objectif, résolument moderne avec ses plongées et contre-plongées, ses obliques et tangentes, son exaltation de la structure, de la forme, de la lumière.

Marianne Breslauer se situe au cœur de cette mouvance, entre le plaisir d'expérimenter de l'avant-garde artistique et la stabilité supposée que lui procure son appartenance à l'élite bourgeoise-intellectuelle berlinoise.

Après un long temps d'oubli, l'œuvre de Marianne Breslauer a été redécouverte dans les années 1980. Des publications et expositions, notamment à la Neue National-galerie de Berlin, lui ont été consacrées. La Fondation Suisse pour la Photographie s'apprête à lui rendre hommage, en 2010, avec une rétrospective d'envergure.

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