Fées, sorcières, diablesses. Les plus beaux contes, d’Homère à Gripari.
Fées, sorcières, diablesses.
Les plus beaux contes, d’Homère à Gripari.
Editions Librio. 2002 – Supplément pédagogique : 2017.
Page 8 :
Les trois Parques romaines : Clotho, Lachésis, Atropos.
Elles sont à la base de nos futures fées.
Page 10 :
Circée et Médée, sont de belles magiciennes antiques.
Page 9 :
Pierre de Lancre envoya au bûcher des dizaines de femmes basques (1612). Ce traitement se poursuivra aux 15e et 16e siècles.
La guérisseuse était en avance sur les médecins et elle apprit seule les vertus des plantes.
Page 11 :
Trois hommes ont permis de conserver les histoires racontées au coin du feu. Ils les ont sauvées de l’oubli.
- Les frères Grimm – Ils utilisent des formes séduisantes, proches du romantisme allemand du 19e siècle.
- Andersen – Il a poétisé les contes.
- Perrault – Il rétablit les fées et les sorcières dans les contes.
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Gustave Doré
Les contes de Perrault
1862
"Le Maître chat ou le chat botté"
Bibliothèque Armand Salacrou
Le Havre
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Bettelheim défendra les contes, jugés cruels par les parents, auprès des adolescents.
Page 14 :
Mélusine est une légende avec des serments rompus.
Page 15 :
On trouve des fées et des sorcières dans les « heroic fantasy ».
Page 16 :
Les sorcières existent aussi dans ls littérature d’horreur, aux côtés des loups-garous et des vampires (Williamson et Rice).
Conan Doyle authentifie des photos non truquées en 1920.
Page 17 :
Les illustrations de Gustave Doré ont fait rêver George Sand, plus que les contes de Charles Perrault.
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Gustave Doré
Les contes de Perrault
1862
"Le Petit chaperon rouge"
Bibliothèque Armand Salacrou
Le Havre
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Page 123 :
Pour George Sand, une femme savante et mystérieuse est une fée.
Page 18 :
La Bibliothèque nationale a organisé une exposition sur les contes en 2001.
Page 68 :
La sorcière du mois d’avril ((Ray Bradbury).
Iels dansent au son de « Beautiful Ohio ».
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Page 111 :
Les Farfafouille ((Fredric Brown).
Le processus de la mort est décrit comme un souffle qui tomba des profondeurs du corps, enveloppa son âme qui s’échappa de ses lèvres. Elle mourut.
Page 120 :
Vasilia (Clarissa Pinkola Estes)
Bab Yaga vante l’ignorance. « Qui trop en sait devient vieux (et vieille, NDLR) avant l’heure. »
Ouh la, la ! Quelle idée rétrograde.
Page 152 :
La Fée aux gros yeux (George Sand).
Après douze ans, on ne croit plus aux fées. Mais la bonne couchait auprès d’Elsie ! (comprenez dans la même chambre, pour surveiller son sommeil, NDLR).
Page 126 :
Un sabbat est décrit comme une veillée de nuit, la fée étant « seule » chez elle, étudiant la beauté.
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Islande
Skogasafn
Musée
Sorcière
Gryla
Grýla, dans la mythologie islandaise, est un monstre et une géante vivant dans les montagnes d'Islande. (Wikipédia).
Gryla, la sorcière de Noël de la tradition scandinave qui cherche des enfants méchants pour son chaudron de ragoût. (Etsy).
Grýla. Sorcière, ogresse ou trollesse, elle glisse lentement au fil des siècles dans le calendrier pour se fixer au tournant du XIXe siècle. (Ma ville).
C'est dans l'Edda, texte norrois rédigé autour de 1 220 par Snorri Sturluson, que l'on trouve la première trace écrite de la géante Grýla. Sorcière, ogresse. (Dinan).
Les suppositions sur son apparence physique sont variées. En effet, certains la voient comme une sorcière gigantesque. (Facebook).
Grýla la sorcière d'Islande, ça vous parle? Elle est sans doute elle aussi une résurgence païenne et n'est pas liée à Noël avant le XVIIème. (Blogger).
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