Peinture - Pierre Bonnard

Publié le 1 janvier 2016 par bmasson-blogpolitique

Pierre Bonnard

‘Bouquet de fleurs des champs’

1923

Pierre Bonnard

‘Baigneuses- Le coup de vent- Modèles nus’

Croquis à l’encre de Chine

Don de madame Jacqueline Bret-André

2002

Pierre Bonnard

Fontenay-aux-Roses, 1867 – Le Cannet, 1947

Intérieur au balcon

1919

Pierre Bonnard (1867 – 1947)

L’escalier du Cannet

1946

Huile et crayon sur fanneau

Ce tableau était l’un des préférés de Jean Planque. Il l’aimait par-dessus tout parce que s’y trouvaient réunis tous ensemble l’enfance, la lumière de l’été et l’abondance des fleurs : « Ce matin-là, écrit-il, le Bonnard m’est apparu tout miraculeux de ce paradis terrestre enfantin retrouvé. Bonnard a peint mon « Paradis terrestre » (…) On y sent l’émotion vraie d’une admirable nature émotive de l’œil. (…) Tout est lumière et bonheur. Exaltation de l’émotion créatrice d’accords colorés extraordinaires. Le plaisir que l’on prend à regarder ces œuvres est tel, qu’on en est tout plein de grâce, comme si la lumière était en nous. Nous devenons lumière ».

Escalier à vis à droite

1830

Musée des Arts et Métiers

Paris

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Vue sur Le Cannet

par Albert André

Pierre Bonnard (1867 – 1947)

Torse de femme, de profil

Vers 1918

Huile sur toile

Le Cannet

Yoyo Maeght

La saga Maeght

Gallimard Découvertes 2010 – Editions Robert Laffont 2014

Page 163 :

Voilà bien un sujet et une préoccupation commune aux deux artistes, Matisse et Bonnard. La fenêtre. Tous deux feront de nombreuses toiles avec pour thème central ces fenêtres par lesquelles s’engouffre la lumière du Midi ou par lesquelles nous échappons.

Pierre Bonnard

Fontenay-aux-Roses, 1867 – Le Cannet, 1947

Le déjeuner des enfants, vers 1897

Huile sur bois parqueté

Les scènes d’intérieur à l’éclairage intimiste sont chères à Bonnard. Le peintre représente ici les deux enfants de sa sœur en train de déjeuner, sous le « regard spectateur » du chat.

Musée des Beaux-Arts

Nancy