~~Kayhan Kahlor est né à Téhéran et commence à étudier la musique à 7 ans.
A 13 ans, il joue dans l' orchestre national de radio et télévision de l' Iran.
Il poursuit ses études musicales et apprend la tradition du radif,
Il apprend aussi les traditions musicales kurdes et turques
Après le conservatoire de Téhéran, il part sillonner l' Europe et s' installe à Rome et Ottowa pour étudier la musique classique européenne.
Il possède un large éventail d' influences musicales,
Il utilise plusieurs instruments mais revient toujours au violon persique,
Il mêle la musique classique persane et les mélodies de la tradition kurde d'Iran.
Empire Ottoman, 16e – 19e siècle
1630 – 1850 : évolution et déclin
Vers 1630 – 1660, les bleus prédominent, le rouge se fait plus discret, le dessin perd en précision. Apparaissent des représentations de la Mecque et de Médine, placées dans les lieux de prière, à proximité du mihrab. Il n’était pas rare qu’une lacune soit comblée par un carreau de remploi d’un motif différent. Vers 1720 – 1750, des céramistes d’Iznik viennent produire à Istanbul des carreaux à la vive palette, incluant le jaune, mais dont la qualité est inégale. Leurs motifs gagnent en modelé. Aux 18
e et 19
e siècles, Kütahya devient le principal centre de production de céramique. Les artisans, Arméniens pour la plupart, répondent aux commandes passées pour des églises.


Bouteille à col long et à anses
Iran, vers 1600 – 1800
Verre soufflé dans un moule
Egypte, 14e – 15e siècles
Le décor de bois des complexes mamluks
Les constructions des émirs et sultans mamluks comptent de grandes portes de bois, denrée souvent importée. Le bois vient d’Inde, de Madagascar ou d’Afrique centrale. Les essences précieuses et l’ivoire donnent toutes leurs couleurs et leur prix à ces chefs-d’œuvre de l’art de l’assemblage. Le procédé crée des surfaces morcelées, phénomène accentué par la technique de l’incrustation polychrome. Les compositions géométriques se développent à partir d’étoiles, produisant un décor infini et changeant.
