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PLFSS - Pierre Dharréville: rejet du Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 - 2020

Publié le par bmasson-blogpolitique

"Au fond, il n’y a qu’une seule raison pour laquelle ce budget doit être rejeté : il ne répond pas aux enjeux, il ne permet pas de faire face aux besoins de santé et de protection sociale du pays. Chaque année ce budget est plus insupportable que la précédente, parce que chaque année, on y intègre de nouvelles économies qui viennent encore retrancher aux précédentes. C’est un projet de loi de sous-financement de la sécurité sociale. Sa raison d’être, depuis 22 ans, c’est inlassablement de borner, de réduire, rabougrir, rétrécir, resserrer, de presser, de compresser, contracter, compacter, zipper… Je vous donne des variations possibles pour changer un peu le disque : « maîtriser les dépenses », on a beaucoup trop entendu, ça ne fait plus rêver depuis longtemps."

 

C'est en ces termes que Pierre Dharréville s'est adressé à l'hémicycle pour proposer aux députés de rejeter le Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 jugeant que le gouvernement devait revoir sa copie avant de lister les propositions du groupe de la gauche démocrate et républicaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

PFLSS ce qui va changer :

 

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Novembre 2018:

Pendant que la colère sociale s'exprime depuis plusieurs jours maintenant montrant du doigt les budgets d'injustice fiscale, d'arnaque et d'impuissance publique, l'Assemblée nationale examine, depuis hier soir, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 en deuxième lecture.

Pierre Dharréville est intervenu dans la discussion générale pour porter cette colère et proposer d'autres choix.

 

 

Pierre Dharréville :
« Il faut réécrire le projet de loi de financement de la sécu pour tenir compte de la volonté populaire qui s'exprime. C'est la responsabilité de l'Assemblée nationale de réouvrir un grand débat politique. »

 

PLFSS 2019 Motion de renvoi en commission from Pierre Dharreville on Vimeo.

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Juin 2019:

Pierre Dharréville :

« Ce soir, la commission des affaires sociales répondait à cette question : le mauvais budget de la sécu a-t-il bien été exécuté ? Trop bien... Le gouvernement a été contraint à des pas de reculs (retraites, urgences), mais très insuffisants. Il faut arrêter d’assécher la sécu. »

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Juillet 2019

Liste des urgences en grève 

Carte

Source Collectif InterUrgences

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Pierre Dharréville :


« Le PLFSS 2020 s’inscrit dans la logique des précédents en restant sourd au désarroi de la population et plus particulièrement du personnel soignant. On exige plus d’efforts à l’hôpital publique alors que la situation est intenable ».

10 19

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La sécurité sociale est un rouage essentiel de la République. Plus qu’un rouage elle devrait en demeurer un grand projet.

L’hôpital est en crise généralisée. Un peu partout dans le pays, les personnels sont en grève [...] Ils demandent juste la possibilité d’exercer leur métier [...] Ce budget est intenable, car l’hôpital est déjà dans une position insoutenable.

Je veux dire la satisfaction qui est la nôtre de voir une proposition de loi que nous avions défendue à l’Assemblée faire son entrée dans ce budget. Je veux parler du congé de proche aidant. 11 millions de nos concitoyennes et concitoyens sont dans cette situation.

Ce à quoi l’on reconnaît que votre Joconde est un faux, c’est qu’on n’y voit pas la perspective, et que le sujet donne l’impression de regarder ailleurs...

L’œuvre civilisatrice qu’il nous revient de poursuivre appelle à prélever sur les richesses produites la part suffisante à assurer les droits fondamentaux de chacune et chacun.

Budget de la sécurité sociale : "L'an dernier, à la même époque, le budget qui nous avait été présenté avait largement contribué à mettre le feu aux poudres dans le pays", affirme Pierre Dharréville.

 

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Sécurité sociale 

Motion de censure votée par P Dharréville.

NDLR: il n'y a pas que dans le pays que la colère gronde. Parmi les député-e-s aussi.

10 23

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Lire aussi:

 

Publié dans Politique

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La Cité radieuse - Le Corbusier - Marseille - Mussolini

Publié le par bmasson-blogpolitique

Marseille (Bouches-du-Rhône)

La Cité Radieuse

L’unité d’habitation

Grâce aux pilotis, le sol laissé libre accueille promenades ou terrain de jeux.

L’orientation de l’édifice, selon un axe nord-sud, a été déterminée suivant la course du soleil. Les appartements, en majorité traversants, bénéficient ainsi d’une double exposition à l’est et à l’ouest. Ils sont prolongés par des loggias ouvertes sur l’extérieur et leur ensoleillement est contrôlé par des brise-soleil qui rythment les façades. A mi-hauteur, les étages dévolus aux commerces sont signalés par les lames verticales de leur brise-soleil. Accessible, le toit-terrasse est conçu comme une place urbaine. L’édifice se caractérise par la force et la plasticité de ses différents volumes –pilotis, escaliers – et par la silhouette de sa toiture dominée par deux cheminées sculpturales.

Cité de l’architecture et du patrimoine

Paris

 

 

 

 

Marseille (Bouches-du-Rhône)

La Cité Radieuse

Le Modulor

Le Modulor a été mis au point par Le Corbusier dès 1945 comme un outil pour rationaliser l’aménagement de l’espace, de l’échelle de la cellule d’habitation à celle du territoire. L’architecte publie ses théories en 1949 dans Le Modulor : essai sur une mesure harmonique à l’échelle humaine applicable universellement à l’architecture et à la mécanique et les appliquer à Marseille pour la première fois dans la construction de l’unité d’habitation.

La grille de proportions du Modulor associe les valeurs du nombre d’or issues de la suite de Fibonacci (XIIIe siècle) avec les mensurations du corps humain, que Le Corbusier estime à 1,83 mètre en moyenne.

Ce nouveau système permet d’atteindre à la fois harmonie et confort.

L’outil est promu par les Congrès Internationaux d’architecture moderne et Charlotte Perriand s’approprie notamment ce nouvel « étalon » dans ses propres créations.

Le Modulor prend l’aspect d’un homme debout levant l’un de ses bras. En le représentant dès l’entrée du bâtiment, sous les formes d’un grand relief sculpté dans le béton et d’un vitrail coloré, Le Corbusier met l’instrument au centre de sa nouvelle esthétique et en fait une véritable philosophie.

Cité de l’architecture et du patrimoine             

Paris

 

 

Marseille (Bouches-du-Rhône)

La Cité Radieuse

L’appartement de type E2

Les appartements de type E2 sont les plus courants dans l’immeuble. Ils traversent entièrement le bâtiment au dessus de la rue intérieure pour les E2 supérieurs et en dessous pour les E2 inférieurs. Chaque appartement se développe sur deux étages de 2,26 mètres sous plafond, le séjour bénéficiant d’une double hauteur.

Ils sont imbriqués sur trois niveaux, la rue intérieure occupant le centre.

Ces appartements étaient novateurs pour l’époque. La famille se retrouve dans la salle commune. Chacun peut s’isoler. La loggia est une véritable pièce en plein air. Les deux chambres d’enfants ont une cloison mobile qui permet de les relier en une salle de jeux. Le mobilier est intégré et les équipements sont étudiés pour faciliter les tâches de la mère de famille (et du père aussi, NDLR) : ouverture de la cuisine  sur la salle commune, nombreux placards, casiers de rangement, table à langer.

Les appartements étaient livrés complètement équipés avec une cuisinière et une armoire frigorifique.

Cité de l’architecture et du patrimoine                                                

Paris

 

 

 

 

9e - toit-terrasse

8e - Ecole

4e- Bureaux

3e - Commerces

Hall d'entrée

Toit-terrasse

Piscine

Cheminées

 

Salle de réunion

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DÉCONSTRUIRE LE BÂTISSEUR : LE FASCISME DE LE CORBUSIER.
(…) Mais il n’est pas sans soulever, à nouveau, des questions sur le trouble passé de l’architecte. Un livre signé Xavier de Jarcy en 2015, Le Corbusier, un fascisme français (éd. Albin Michel) nous en dit plus.
(…) Beau soutien au régime de Vichy ! Il vouera aussi une grande admiration à Mussolini*, Primo de Riveira, et même Hitler.

*

Honfleur 
Musée seconde guerre mondiale 
Blockhaus de la gare 
Le Duce est libéré par des parachutistes allemands.
 

Après sa première arrestation, Benito Mussolini est spectaculairement libéré par des parachutistes allemands du major Mors le 12 septembre 1943. La propagande nazie fera du capitaine SS Otto Skorzeny, le « libérateur » du Duce.

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Honfleur

Musée du blockhaus de la Gare.

Mussolini veut agrandir l'empire colonial italien. Celui-ci n'est qu' « une collection de déserts » ( Libye, Somalie, Érythrée, Dodécanèse ). En jouant sur le souvenir de l'action civilisatrice de Rome, il pense pouvoir installer des Italiens pauvres dans les pays conquis.

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Dans la vie de Mussolini, il y a un lourd secret que l'histoire officielle ne raconte pas : une femme, Ida Dalser, et un enfant, Benito Albino - conçu, reconnu puis désavoué.

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Ida Dalser naît à Sopramonte, un village situé à quelques kilomètres à l'ouest des environs de Trente, alors partie de l'Empire austro-hongrois, et dont son père fut le maire[2]. Elle part pour Paris suivre des cours d'esthéticienne avant de retourner à Milan en 1913 où elle ouvre un salon de beauté sur le modèle français. C'est à cette époque qu'elle débute une relation avec Benito Mussolini, dont elle avait toutefois fait la connaissance quelques années auparavant (probablement vers 1907-1909) à Trente[2] lorsque celui-ci avait travaillé pour le journal local socialiste Avanti!. Subjuguée par la personnalité de Mussolini, elle décide de vendre tous ses biens pour financer sa carrière et lui permettre de fonder son propre journal, Il Popolo d'Italia qui sera l'organe de presse du parti fasciste italien et le fer de lance de la montée au pouvoir de Mussolini. Le couple se serait marié religieusement en 1914 avant la naissance de leur fils Benito Albino[2] le 11 novembre 1915 que le futur Duce aurait officiellement reconnu le 11 janvier 1916, bien que les documents officiels aient disparu.

 

Jusqu'à la fin de sa vie, Ida Dalser n'eut de cesse de dénoncer l'attitude du Duce à son égard et écrivit dans ce sens au préfet, au roi Victor-Emmanuel III et même au pape Benoit XV. Elle chercha à discréditer Mussolini en révèlant certaines vérités cachées. Ainsi elle dénonça dans l'un de ses courriers aux autorités, les soutiens financiers discrets d'agents français et britanniques dont aurait bénéficié Mussolini afin que celui-ci fonde son journal Il Popolo d'Italia, et y fasse sa propagande pour l'entrée en guerre de l'Italie aux côtés des alliés, lors du premier conflit mondial.

 

Benito Albino sera quant à lui strictement reclus en pension au Collège des Barnabites durant toute son enfance, avant d'être engagé comme télégraphiste dans la Regia Marina, la marine de guerre italienne. Connaissant probablement sa fragilité psychologique, les autorités lui feront croire au décès de sa mère (en réalité celle-ci mourra quelques années après) et le rapatrieront de Chine où il était en mission. Il sombra finalement peu à peu dans la folie et finira également dans un hôpital psychiatrique à Milan où il meurt le 26 août 1942. Le Duce tentera de cacher cette réalité en faisant croire que Benito Albino avait été blessé lors d'un combat naval en Méditerranée un an auparavant.

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« Vincere » Official Trailer.
« Vaincre »

 

Il y a un secret dans la vie de Benito Mussolini : une femme, Ida Dalser, et un fils, Benito Albino, qui est né, ont été reconnus, puis renégats. C’est une page noire de l’histoire de l’Italie, ignorée dans la biographie officielle du Duce. Quand Ida rencontre Mussolini à Milan, c’est un socialiste fervent qui a l’intention de guider les masses contre l’Église et la monarchie.

Elle croit en lui et en ses idéaux, et vend tout ce qu’elle a pour financer le »II Popolo » italien, un journal que Mussolini trouve être le noyau du futur Parti fasciste. Lorsque la Première Guerre mondiale commence, il s’enrôle et disparaît. En le rencontrant, Ida découvre qu’il est marié à une autre femme et réclame ses droits en tant que véritable épouse et mère de son fils premier-né.

Emmenée de force dans un madasylum, Ida décide que même enfermée et empêchée de voir son fils, elle n’abandonnera pas la lutte pour ses droits.

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Le Corbusier

Architecte

Axonométrie des maisons Jaoul A et B

Neuilly-sur-Seine

Maisons construites pour André Jaoul et son fils Michel

Pavillon de l’Arsenal

Paris

Le Corbusier

Architecte

Villa Jaoul, Neuilly-sur-Seine

1953 – 1955

Pavillon de l’Arsenal

Paris

 

Le Corbusier

Architecte

Le Plan Voisin, perspective d’étude

1925

Pavillon de l’Arsenal

Paris

 

Le Corbusier

Architecte

Villa Savoye, Poissy, 1928 – 1931

La villa symbolise la volonté de l’architecte de libérer le sol grâce à l’utilisation de pilotis, de rendre accessible les toitures-terrasses et de ne pas asservir le plan et les façades à la structure. La maison est pensée comme une promenade. L’écriture architecturale est assez dépouillée et poétique, composée de volumes géométriques blancs et de longues fenêtres horizontales.

Pavillon de l’Arsenal

Paris

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Michelle Perrot : "Le nom de Charlotte Perriand (créatrice de design) était toujours gommé... Un effacement du nom qui est un effacement de la femme".
Michelle Perrot au sujet des rapports entre Charlotte Perriand et Le Corbusier : "Le Corbusier était un grand misogyne".
Pernette Perriand-Barsac : "Sur un chantier, un électricien a dit à ma mère : 'C'est pas une bonne femme qui va me donner un ordre'."
Source France Inter
09 19

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10 19

"Mon père m'a élevée pour que je sois libre : faire du sport, conduire une voiture, avoir un métier, gagner sa vie et ne pas se mettre trop tôt un homme sur le dos."
Michelle Perrot
Source France Inter

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Le Corbusier

(Charles Edouard Jeanneret, dit)

1887, La-Chaux-de-Fonds (Suisse) – 1965, Roquebrune-Cap-Martin (France)

Harmonique périlleuse

1931

Huile sur toile

 

Le Corbusier reste fidèle au mouvement du Purisme, créé en 1918 avec Amédée Ozenfant, jusqu’en 1925. Dès 1930, il décide d’intégrer à sa peinture, comme son ami Fernand Léger, des « objets à réaction poétique » (os, cordages, racines, etc.) et réintroduisant la figure humaine. Le langage s’ouvre au réel, à l’humain. Le Corbusier s’oppose au surréalisme et à l’abstraction en équilibrant sa vision entre rigueur et poésie.

 

 Musée Cantini

Marseille

 

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Le Corbusier

1887 – 1965

Maquette de Nemours

1933

Mucem

Marseille

 

Fernand Pouillon (1912 – 1986) est connu pour avoir reconstruit le Vieux-Port de Marseille de 1947 à 1956. Il partage avec Le Corbusier le goût du bonheur des habitants, de la lumière et des sites méditerranéens. Il choisit la pierre et la ferronnerie en réponse au béton brut de Le Corbusier. La Cité Climat de France construite entre 1954 et 1957 à Alger était conçue pour accueillir 5 000 familles. Elle en possède près de 50 000 actuellement.

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André Bauchant

1873 - 1958

Bouquet Le Corbusier 

1927 

Huile sur toile

Musée Maillol 

Paris

Le Corbusier

1887 – 1965

Briey-en-Forêt – Lorraine.

Le Havre

MUMA

 

L’unité d’habitation à Briey en Meurthe-et-Moselle, a été construite en 1959-1960.

Elle est identique au modèle de la « Cité radieuse » à Marseille, surnommée la « maison du fada ».

Menacée de destruction dans les années 1980, les propriétaires privés l’habitent et la réhabilitent.

 

L'Unité d'habitation de Briey, appelée aussi Cité radieuse de Briey-en-Forêt, est une unité d'habitation construite entre 1959 et 1960 à Briey (Meurthe-et-Moselle) par l'architecte franco-suisse Le Corbusier selon le modèle qu'il a établi pour Marseille. Ce bâtiment, construit pour l'Office départemental HLM, est progressivement abandonné par le bailleur social et menacé de destruction dans les années 1980. Elle est depuis progressivement réhabilitée.

Wikipédia

 

Maquette de Philippe de Gobert

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Publié dans Marseille

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Fondation Luma - Stan Douglas

Publié le par bmasson-blogpolitique

 

Arles

Fondation Luma

Exposition Picture Industry

 

Stan Douglas

Monodramas

Monodrames

1991

Cinq vidéos sonores, de 30 à 60 secondes chacune

Five videos, with sound, 30 to 60 seconds each

 

Stan Douglas, né le 11 octobre 1960 à Vancouver, est un artiste canadien. Il réalise des installations faisant appel à la vidéo et à la photographie. En 2012, il reçoit le Infinity Award for Art.

 

Publié dans art pictural

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Harun Farocki à Arles - Exposition "Picture Industry"

Publié le par bmasson-blogpolitique

Arles

Fondation Luma

Exposition "Picture Industry" 

Harun Farocki 

Il a réalisé plus de 90 films, pour la plupart de courts documentaires expérimentaux. De 1966 à 1968 (entre 22 et 24 ans), il a suivi les cours de la Deutsche Film- und Fernsehakademie de Berlin  avant d'enseigner lui-même à Berkeley (Californie) de 1993 à 1999.  Dans ses réalisations, il se penche sur les réflexions du dispositif filmique tel que les caméras de surveillance. Il travaille sur le texte et son adaptation ainsi que sur le "parler", il s'interroge sur le travail d'intonation qui peut paraître très monotone selon la langue employée dans ses documentaires.

Publié dans art pictural

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Allan Sekula "Untiltled Slide Sequence" - Arles

Publié le par bmasson-blogpolitique

Arles

Fondation Luma

Exposition Picture Industry

 

Projecteur Simda

 

Allan Sekula

Untiltled Slide Sequence

1972

Vingt-cinq diapositives en noir et blanc dans un carousel

Twenty five black and white slides in a slide carousel

Museum of Contemporary Art, Los Angeles

 

Allan Sekula, né le 15 janvier 1951 à Érié et mort le 10 août 2013 à Los Angeles, est un photographe, écrivain, réalisateur de films et théoricien de l'art américain. Né en 1951 à Érié en Pennsylvanie, Allan Sekula a vécu et travaillé à Los Angeles. Il commence des études scientifiques à l'université de Californie à San Diego et décide en 1968 de devenir artiste sur les conseils de John Baldessari. Il suit dans cette université les cours de Marcuse, puis de Louis Marin et de David Antin.

Publié dans art pictural

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Projecteur Eiki 16 mm - Morgan Fisher - Phi Phenomenon

Publié le par bmasson-blogpolitique

Arles

Fondation Luma

Exposition « Picture Industry »

 

 

Projecteur Eiki 16 mm

Morgan Fisher

Phi Phenomenon

1968

Film 13 mm

11 min

 

Morgan Fisher (né le 1942, Washington, D.C.) est un cinéaste et artiste expérimental américain connu pour ses films structuraux et minimalistes qui référencent les procédés matériels du film de pellicule et les moyens et méthodes de production d'images en mouvement, y compris la caméra, le directeur et l'équipage, et le processus de montage. Depuis les années 1990, Fisher a également produit des peintures et des travaux d'installation. Son travail a été inclus dans trois expositions biennales de Whitney, 1985, 2004 et 2014. Il a reçu une bourse Guggenheim en 1987.

Publié dans art pictural

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Walead Beshty à Arles

Publié le par bmasson-blogpolitique

Arles

Fondation Luma

Exposition Picture Industry

Walead Beshty

 

Octobre 2018

 

Ce projet a été lancé suite à une invitation de Guillaume Guillet ( ?) qui fait partie du programme, ici, à Luma.

Lors de chaque étape de la création de cette exposition, la contribution de toute l’équipe de Luma a été décisive. Je souhaitais les remercier

 

Voir aussi:

Walead Beshty (né à Londres, Royaume-Uni, 1976) est un artiste et écrivain basé à Los Angeles.
Beshty a été professeur agrégé dans le département d'art de diplômé à l'Art Center College of Design, Pasadena, et a enseigné dans de nombreuses écoles, y compris l'Université de Californie, Los Angeles; Université de Californie, Irvine; le California Institute of the Arts; École de l'Institut d'art de Chicago; et le programme de l'AMF au Bard College. Beshty a largement exposé dans de nombreuses institutions et galeries à travers le monde.

Publié dans Arles

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Christiano Sabelli - Un artiste en « installation » à Arles

Publié le par bmasson-blogpolitique

Christiano Sabelli

Urban space 2030 : Progrès ou dystopie ? (Espace urbain et spatial), du 3 au 24 novembre 2018

Un artiste en « installation » à Arles.

10 18

 

Voici la présentation d’un artiste italien particulièrement pessimiste pour l’avenir.

 

Christiano Sabelli - Un artiste en « installation » à Arles

Christiano Sabelli

Il est né à Rome. Il est un artiste visuel et restaurateur d’œuvres d’art. Il est lauréat à l’académie des Beaux-Arts de Rome. Il a obtenu la qualification de restaurateur de biens culturels. Il vit en Italie et à l’étranger et il réalise des projets artistiques, des installations et il vit en Toscane.

 

L’installation que nous verrons en novembre est une installation itinérante. Elle est « in situ » et elle permet de créer des dialogues interdisciplinaires dans divers lieux dans le monde. Toutes ces expositions seront réunies en une seule finale.

 

 

Il a lu un article de la NASA qui déclarait que nous étions proches de rejoindre Mars aux alentours de 2030. Un cargo humain serait capable de la rejoindre dans le but de la coloniser. Il a commencé à réfléchir sur l’existence humaine et à son destin sur la planète, le tout couplé à la grave crise économique et existentielle que nous sommes en train de vivre.

Il cite le philosophe « Heidegger ». Dans « Etre et temps », il dit que l’homme a été jeté dans le monde comme un étranger. L’homme est en perpétuel conflit avec lui-même. Il a commencé à travailler sur « Urban space 2030 ».

C’est dans la nature de l’homme de voyager et de transformer la vie. Dans son installation, il se demande : « Où allons-nous et que cherchons-nous ? Qu’allons-nous laisser aux générations futures ?»

Il a réalisé une installation in situ dans la ville de Rome qui dans le passé a été le symbole du progrès social,  technologique  et politique du plus grand empire d’Occident.

Il a visité Arles il y a quelques années et il a décidé de relier Arles et Rome qui ont été liées de par leur passé antique.

Du temps de Constantin, Arles était appelée la « petite Rome ». Maintenant, Arles est une ville dynamique, riche d’initiatives culturelles d’importances internationales.

Il a choisi Arles comme deuxième étape de son projet artistique.

« Urban space » représente une vision dystopique d’un futur hypothétique. La dystopie est contre utopique. C’est négatif. La vie peut devenir un cauchemar, impossible. On ne peut pas être heureux. C’est questionner ce que le progrès, la machine et la technologie prennent le contrôle. Il se réfère à « 1984 » de Orwell.

La visite de l’exposition peut laisser le visiteur un peu désorienté. C’est un parcours, un chemin à poursuivre en solitaire. Il souhaite jeter une graine à l’intérieur de celui qui la vivra.

Les nouveaux quartiers périphériques construits, depuis la révolution industrielle,  sont devenus des noyaux techno-tribaux qui se ressemblent tous. Ce sont souvent des zones privées de centres culturels des centres urbains. L’architecture est aussi différente. L’espace urbain y apparaît comme aliénant. Il n’y a plus de place pour la nature. La nature est considérée comme une simple chose à la merci de la science de la technologie. L’homme apparaît comme un risque pour sa propre survie. Il cite pour terminer Antonio Machado : « On chante ce que l’on perd ». Notre futur est celui de notre mère nourricière.

 

Pour réaliser ses vues de Barriol et d’Arles, il a eu beaucoup de mal à trouver un brin d’ombre pour faire les photos en plein mois de juillet. Il y a les panneaux qui permettent à se repérer. La végétation n’y est pas spécifique. On choisit un arbre de la manière dont ses racines vont s’implanter et par rapport à sa hauteur. Il y a un espace où on dort, où on va faire les courses.  C’est devenu la normalité car c’est la réalité.

L’installation va présenter des photos et des sculptures. Elles sont là pour donner et susciter une émotion. C’est un voyage du présent vers le futur. C’est une projection d’un futur qui va peut-être arriver. Ce n’est pas une vision religieuse mais une représentation générale de notre culture.

 

L’installation parle de l’essence humaine. Il y aura une représentation humaine. Ce sera une représentation forte et poétique.

Il ne montre aucune image de ce que nous verrons car il est encore en pleine création et la surprise fait partie de cette exposition. Il utilise l’étrangeté car ça nous amène à un état un peu particulier, aliéné, confus. Il espère créer une passerelle entre l’humain et la nature.

 

Publié dans art pictural

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Mai 68. L’architecture aussi !

Publié le par bmasson-blogpolitique

 

Mai 68. L’architecture aussi !

Une exposition conçue et réalisée par la Cité de l’architecture et du patrimoine dans le cadre du 50 e anniversaire de Mai 68.

 

Refuser l’héritage.

Le feu couve sous la cendre. L’avant-68 annonce une profonde rupture dans le corps des architectes. Quelques étudiants commencent à dénoncer une esthétique académique. L’idée du beau se réduit à un système de modèles où la pratique du projet architectural se cantonne à un système de règles.

Ils cherchent à se libérer de l’esthétique du fini, du rendu, de la maîtrise technique et de la reproduction, mais aussi de certaines pratiques sociales (folklore, solidarité virile, bizutage, rapports entre « nouvôs » et anciens) qui se prolongent hors de l’Ecole par toute une série de liens et de hiérarchies professionnelles.

En mai, le rejet se concentre dans la dénonciation du « noeud-pap » symbole de vanité d’un architecte notable. Les élèves s’interrogent sur le sens de l’architecture.

La question de l’époque est « comment, avec qui et pourquoi la faire ? » plutôt que « quelle architecture va-t-on faire ? »

Affiche « Non aux bidonvilles, non aux villes-bidons.

L’urbanisme est un acte politique au service du peuple ».

Mai 1968

Atelier populaire de l’ex-Ecole des beaux-arts

Estampe

 

Affiche du colloque Pour un urbanisme… (Grenoble, 4 – 10 avril 1974) organisé par la fédération de l’Isère du Parti communiste français et La nouvelle Critique,

1973

Signée au milieu à droite.

Grapus (collectif créé en 1970 par Pierre Bernard, François Miehe et Gérard Paris-Clavel)

Ce colloque marque le point d’orgue de l’engagement commun des architectes dans un parti dominé dans son ensemble par les économistes et socio-économistes.

Estampe

Bernard Neyrolles (imp. Lescaret, Paris)

Affiche annonçant la conférence de  Victor Vasarely

« Victor Vasarely et l’art social »

Mardi 14 janvier 1964

A la Maison des Beaux-Arts (11 rue des Beaux-Arts, Paris) organisé par la Grande Masse.

Coordination des comités d’action, mai-juin 1968

28 rue Serpente

Paris 6

Atelier populaire de l’ex-Ecole des beaux-arts

Dessin de Hector Cattolica

La République française y est représentée sous les traits de la Semeuse avec masque à gaz, bouclier et pavé* à la main.

Estampe, impression en offset noir.

*

 

Philippe Auguste donne l’ordre de paver les rues de Paris

Miniature

Dans Bernard Gui, Fleurs des chroniques

Besançon

Après 1384

Pavillon de l’Arsenal

Paris

Francis Miguet et Brieuc Cappelaere

Reconstitution numérique du projet et réalisation de la maquette du diplôme de Jean-Pierre Péneau (atelier Marot, La demeure philosophale, Application d’une étude sur des surfaces à génération périodique, 5 juillet 1967, mention bien)

2018

Outils numériques : Rhino+Grasshopper, découpe laser, usinage 3D (matériel Ensa Nantes), Matériaux : LAB (socle) + PMMA (musée)

 

Jean Louis Brahem (dessinateur)

Graveur anonyme         

Affiche pour le bal des Quat’z’arts du 3 juillet 1964

Estampe

Engagements : Mai 68, début d’une lutte prolongée.

En Mai 68, les scènes de contestation locales, comme les Beaux-Arts, s’articulent avec un mouvement d’ampleur nationale.

Un lac d’impatiences se répand en un torrent de mécontentements. C’est le temps de  l’occupation de la Fédération française de football, de l’ORTF (télévision), des perturbations du festival de Cannes.

Aux Beaux-Arts, le 14 Mai c’est le tirage de 30 lithographies des trois « U », Usine-Université-Union, symbole de la synchronisation des crises et de l’extension du « mouvement ».

Le 27 juin, les gardes mobiles investissent ce « dernier bastion étudiant ».

Dernière affiche de Gérard Fromanger au siège de la CFDT « La police s’affiche aux Beaux-Arts, les Beaux-Arts affichent dans la rue ».

Pierre Bourdieu parle du « rire de Mai ».

Retrouvera-t-on un jour chez les architectes l’humour libertaire des affiches de Mai ?

Lithographies des trois « U », Usine-Université-Union

Oui usines occupées

La police s’affiche aux Beaux-Arts, les Beaux-Arts affichent dans la rue 

« 3 morts par jour sur les chantiers »

Affiche Soutenez les cheminots en grève avec et pour les travailleurs

Atelier populaire de l’ex-Ecole des beaux-arts

Sérigraphie

« La bourgeoisie ne loge pas les travailleurs, elle les stocke. »

 

 

Lithographies des trois « U », Usine-Université-Union

« Oui usines occupées »

Reproduction numérique de l’affiche Mai-juin 1968…68 début d’une lutte prolongée

Estampe, sérigraphie de l’atelier populaire de l’ex-Ecole des beaux-arts

Mi juin 1968

Dharavi le bidonville qui fait rêver les millionnaires.

Les nationalistes veulent en finir avec les "intouchables". 

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D'abord contestez-vous vous-même.
Oui, même de Gaulle.
Odéon.
Mai 1968.
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Edouard Philippe répond aux pétitionnaires qui ont signé la pétition de Muriel Robin

Publié le par bmasson-blogpolitique

Edouard Philippe répond aux pétitionnaires qui ont signé la pétition de  Muriel Robin :

Voici ma réponse (j’ai signé cette pétition) :

Oui, monsieur le Premier ministre, vous faites des choses, mais vous en défaites aussi…

Vous énoncez les propositions prises par le gouvernement en faveur des femmes. Certes, il y a quelques avancées, mais rien de neuf. On pourrait s’attendre à ce que vous disiez : « Le gouvernement va prendre réellement des mesures financières pour la cause des femmes en rajoutant 1 milliard que nous allons distribuer aux associations qui accompagnent les femmes victimes. » Quand on aime, on paie…

Mais, non, toujours rien !

Jusque là, le saupoudrage a permis de mettre les associations féministes en concurrence entre elles, de donner de l’argent au MEDEF (si ! si ! et pourtant, ce sont les patrons qui licencient, qui tolèrent le harcèlement, qui ne pratiquent pas l’égalité des salaires), et Marlène Schiappa a traqué les militantes féministes qui s’opposent à la politique gouvernementale.

Marlène Schiappa conclut tous ses discours par son message fataliste : « Après des millénaires de domination masculine (bon, elle la reconnaît même), on ne va pas régler le problème en trois jours. » Certes, mais sans argent supplémentaire, on ne va rien régler du tout. C’est une femme qui fait de la politique, qui décide des dépenses que le gouvernement perçoit avec l’argent de nos impôts (entre autres), et qui nous dit : « Passez, y’a rien à voir ! On ne peut pas donner de l’argent supplémentaire (sous-entendu, on en donne déjà assez).»

Non, on n’en donne jamais assez…

Pire, vous supprimez les CHSCT qui permettaient d’aider les femmes victimes de harcèlement au travail, vous retirez la pension de reversion pour les femmes veuves et vous changez le système des retraites avec une baisse possible des revenus de 30% selon une estimation de la CGT. La requalification du viol des enfants permet la correctionnelle au violeur et non pas les assises. C’est pourtant un crime. Vous n’entendez pas les associations féminines qui demandent un âge minimum pour permettre à l’enfant d’être avant tout, et toujours, une victime. Et puis, l’égalité salariale n’est pas atteinte. Ce n’est pas un état des lieux des entreprises en infraction qui est à mettre en place, mais des sanctions sont à prendre et à appliquer contre les entreprises qui ne le pratiquent pas.

Brigitte Masson

NDLR : l’humour est partout. Même dans la démarche de discussion gouvernementale. Le premier ministre s’adresse à une humoriste. Pourquoi ne pas organiser une table ronde avec toutes les associations féministes ? Muriel Robin y aurait toute sa place aussi. Quand Muriel Robin utilise le pronom « nous », cela représente qui ?

Monsieur le Ministre,

Je tiens à vous remercier de votre intérêt pour notre cause qui est, je l’ai bien compris, aussi la vôtre.

Nous serions évidemment très heureuses de vous rencontrer. Nous travaillons actuellement sur des dossiers qui vous intéresseront sûrement. Dès que nous serons prêtes, je m’autoriserai à revenir vers vous pour que nous avancions ensemble.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de ma très haute considération.

Muriel Robin

NDLR : que dire de cette future réunion ? Que c’est un désaveu de l’action de Marlène Schiappa ? Le premier ministre se préoccupe personnellement des questions qui concernent les Françaises. Mais jusqu’où est-il prêt à aller ? Le gouvernement n’écoute pas la colère des Gilet-e-s Jaunes. Les femmes y sont en première ligne. Le pari est lancé : donnera ou ne donnera pas les 500 millions d’euros, au minimum, espérés par les associations féministes qui sont quand même évincées de cette réunion… ? Si tout est dans l’art de la communication, cela ne suffira pas à calmer notre colère. Il va falloir mettre la main au porte-monnaie. Moi qui ai fait des photos de la misère en France, des SDF, un peu partout sur le territoire, j’ai constaté que cette bourgeoisie (moyenne et haute) ne voulait pas la voir. « Cachez la ! » « Pas de bancs pour eux, ni pour les autres d’ailleurs ! » Cette misère leur explose à la figure. Ca les dérange que dans notre pays si riche, les pauvres se rebellent. Aux yeux du monde, la colère des maltraité-e-s et des oublié-e-s français gronde. Je  comprends cette explosion de douleur et d’espoir.
Demain, nous rencontrerons le Premier Ministre Edouard Philippe.

 

Muriel ROBIN communique :

Nous sommes aujourd'hui plus de 700 000 personnes mobilisées pour dire stop aux violences conjugales. Cette violence a engendré en 2017, la mort de 130 femmes : il est temps d’en venir à bout.

Demain, nous rencontrerons le Premier Ministre Edouard Philippe à 11h, et nous lui demanderons un budget d’envergure pour cette grande cause nationale.

Tout au long de cette rencontre, nous serons vos représentantes : ce sont vos voix que nous porterons. Pour que vous puissiez suivre cette étape importante de la mobilisation, nous ferons un Facebook Live après la rencontre pour répondre à vos questions.

Je vous donne donc rendez-vous demain aux alentours de 12h.
Si vous souhaitez suivre ce direct, Il vous suffit de liker la page de Change.org :

 https://www.facebook.com/Change.orgFrance/ 


Vous serez ainsi averti.e.s dès que le live commencera.

 

Muriel Robin fait  un compte-rendu de l’entretien. Marlène Schiappa était présente…
« Il y a urgence à agir, mais cela demande du temps » dit Edouard Philippe ! Bof…
Pas d’argent qui va avec la cause nationale.
Muriel Robin est déçue.
« Elles ont pu dire tout ce qu’elles voulaient ».
Ca ne coûte pas d’argent d’écouter….Donc rien de neuf, hormis le fait de signaler qu’ils écoutent. NDLR !
Vers le 1 million de signatures pour le 1er janvier 2019.

https://www.facebook.com/1286925714/posts/10213907221296464/

 

Réaction du collectif droit des femmes : il faut croire au Père Noël !

 

Le Premier Ministre face à la colère des Français, toujours vive.

Malgré le projet de loi en passe d'être validé par le Parlement, Edouard Philippe s'est confronté aujourd'hui à l'hostilité d'habitants de la Haute-Vienne.

(…) Colère aussi des fonctionnaires : ils ne toucheront pas de prime exceptionnelle, contrairement à beaucoup de salariés de grandes entreprises.  Les syndicats sont sortis furieux d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat Olivier Dussopt.

NDLR : Muriel n’est pas tchadienne, hélas…
La colère de Muriel Robin, qui reintègre le classement des personnalités préférées des Français.
AUCUNE FEMME DANS LE TOP 10.
(…) « J'avais vécu ma sortie comme une sorte de désamour. Je n'avais rien demandé pour y entrer mais je m'y étais habituée ».
(…) Même si elle se dit déçue du gouvernement et le président de la République, l'actrice a un espoir : « la possibilité de rencontrer Emmanuel Macron » afin d'évoquer et de poursuivre les actions contre les violences conjugales. L'appel est lancé.
Janvier 2019:
Fabien Roussel :
« Sur tf1, un Premier Ministre droit dans ses bottes... comme Juppé en 1995. On sait comment ca s'est terminé, on a gagné! »
« Le Premier Ministre promet plus d'arrestation ? On veut plus de pouvoir d'achat!’
Ian Brossat :
« Le Premier Ministre propose donc un fichier pour recenser les casseurs. Problème : il existe déjà... »

Igor Zamichiei (PCF Paris) :

Ma réaction aux annonces d'Edouard Philippe sur Cnews dans LeGrandJT :

« Ce gouvernement est entré dans une dérive autoritaire pour évacuer la question politique et sociale ! »

 

GILETS JAUNES. ÉDOUARD PHILIPPE MANIE LE BÂTON ET OUBLIE LA CAROTTE.
(…) Au début du quinquennat, l’exécutif s’était déjà illustré en la matière avec l’adoption de la loi de « lutte contre le terrorisme et de sécurité intérieure », controversée du fait de ses aspects liberticides. Et la majorité ne manque pas de ressources.

 

Annonces d'Édouard Philippe : "Ce gouvernement préfère une réponse sécuritaire plutôt que politique".
Le secrétaire général du syndicat VIGI CGT Police a réagi aux dernières annonces du Premier ministre.

(…) Ensuite, je rappelle que les services des renseignements généraux ont été démembrés en 2008 par monsieur Sarkozy. Aucun gouvernement depuis n'a remis les choses et à l'heure actuelle le gouvernement est obligé de déployer des forces de police dans tous les sens pour pallier l'aveuglement du renseignement.

 

Edouard Philippe fait le bilan des 80 km/h

 

 

Les 80 km/h  remis en questions 

 

 

Edouard Philippe et les 80 km h en Egypte 

Dessin de Plantu

 

Edouard Philippe et ses contre parties aux aides sociales

 

Edouard Philippe qualifie les Gilet-e-s Jaunes 

 

Edouard Philippe saura-t-il convaincre pour la restitution du grand débat?

 

Edouard Philippe remercié par le Medef pour la baisse des impôts

Source: Canard enchaîné

Edouard Philippe et les nouveaux/anciens clivages politiques:

les affreux et les horribles...

 

 Edouard Philippe :

 

21 ministres sur 35 de son gouvernement sont rattrapés par le fisc.

 

Edouard Philippe dans "opération pôle emploi "

Après les retraités, les chômeurs...

 

Philippe et Pénicaud essaient  la machine à éjecter les chômeurs des statistiques

Edouard Philippe et les réformes nécessaires

Edouard Philippe fait disparaître la moitié des chômeurs, avec l'aide de Muriel Pénicaud...

Emmanuel Macron vu par Edouard Philippe 

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LES ANCIENS PREMIERS MINISTRES CONSERVERONT VOITURE ET CHAUFFEUR À VIE.

Le décret signé par Emmanuel Macron vendredi 20 septembre et publié dans le Journal officiel ce dimanche encadre les avantages des anciens Premiers ministres.

(…) Vers une nouvelle colère des Gilets jaunes ?

Des questions qui vont sans doute rester sans réponses puisque le nouveau décret leur accorde encore ce privilège. 

 

Publié dans Femmes

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