Féminicides - Ils nous tuent, même à l'école!
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NDLR : supportera-t-il mieux les surveillantes de prison ou les infirmières psychiatriques ?
Assassinat de la surveillante
Il ne supportait plus les surveillantes.
Il indique avoir agi ainsi, car il ne supportait plus le comportement des surveillantes en général qui auraient eu selon lui une attitude différente selon les élèves". Le suspect ne manifeste "pas de regret" ni "aucune compassion" à l'égard de la victime, a souligné le procureur de Chaumont. (France Bleu).
Meurtre de Mélanie : le collégien mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire. (TF1).
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Homophobie :
Bärd Eithun
Condamné pour avoir tué un homme gay de trente-sept coups de couteau, le batteur norvégien Bård Eithun se produit le 21 juin à Clisson. (Mediapart).
Till Lindemann
Figure de proue d'un système de prédation sexuelle organisé. (Bruno Smania).
Ronnie Radke
Violent conjugal et transphobe assumé. (Bruno Smania).
Le Hellfest fait jouer un meurtrier homophobe et ne voit pas le problème Condamné pour avoir tué un homme gay de trente-sept coups de couteau, le batteur norvégien Bärd Eithun se produit le 21 juin à Clisson. Le festival, qui attend 240 000 visiteurs, ouvre grand les bras à d'autres artistes problématiques, tels l'Allemand Till Lindemann ou l'États-Unien Ronnie Radke.
Le Hellfest a choisi son camp : celui des agresseurs et des meurtriers. Bård Eithun n’est pas le premier. Il n’est pas le seul non plus. Et chaque année, le manque d’implication de la direction du festival, est dénoncé par toutes celles et ceux qui luttent contre les violences sexistes et sexuelles. Le Hellfest a choisi son camp. Dont acte.
HellFest
Meurtrier homophobe joue
Pas de problème.
Le Hellfest fait jouer un meurtrier homophobe et ne voit pas le problème
Condamné pour avoir tué un homme gay de trente-sept coups de couteau, le batteur norvégien Bård Eithun se produit le 21 juin à Clisson. Le festival, devenu l’un des plus gros de France, ouvre grand les bras à d’autres artistes problématiques, tels l’Allemand Till Lindemann ou l’États-Unien Ronnie Radke. (Mediapart).
Et chaque année, le manque d’implication de la direction du festival, est dénoncé par toutes celles et ceux qui luttent contre les violences sexistes et sexuelles. (MeToo media).
Agressions sexuelles, meurtre homophobe, violences conjugales… Au moins trois profils jugés plus que problématiques agitent les discussions. (Ouest France).
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