Peinture - François Boucher

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Peinture - François Boucher

Le sommeil de Vénus

Villa Ephrussi-Rothschild

Peinture - François Boucher

Amour à la colombe

Villa Ephrussi-Rothschild

Peinture - François Boucher

Diane sur les nuées

Villa Ephrussi-Rothschild

 

François Boucher

1703 – 1770

Le repos des nymphes au retour de chasse

Dit le retour de chasse de Diane

1745

Huile sur toile

Musée Cognacq-Jay

Paris

Peinture - François Boucher

L'odalisque

Reims

Peinture - François Boucher

Tapisserie d'Aubusson avec dessin d'après François Boucher

Villa Ephrussi-Rothschild

 

 

Peinture - François Boucher

Attribué à François Boucher

1703 – 1770

Femme avec son chien

Pierre noire et sanguine

Peinture - François Boucher

François Boucher

1703 – 1770

Abraham et Agar

D'après Salomon de Bray

Narbonne

François Boucher

Paris, 1703 – 1770

Paysage

Dépôt de l’État, 1872

 

A Blois :

François Boucher

1703 – 1770

Psyché refusant les honneurs divins

Vers 1740

Huile sur papier marouflé sur toile

L'histoire de Psyché est une fable morale relatée dans l’Âne d'or d'Apulée, auteur latin du 2e siècle.

Son sujet, l'amour, la fatalité, la séparation, la quête héroïque et la réunion des deux amants inspira de nombreux peintres. On voit ici Psyché refusant les offrandes apportées par ses concitoyens en hommage à sa beauté mortelle dans le temple même de Vénus sous le regard courroucé de celle-ci.

Cette esquisse témoigne de l'intérêt personnel du peintre pour la fable de Psyché qu'il traita à de multiples occasions.

 

Rouen

François Boucher

Paris, 1703 – Paris, 1770

Le Mariage d’Amour et Psyché, 1744

Huile sur toile

Cadre de style Louis XV élégant et délicat.  Renoir appréciait cette souplesse et finesse souvent copiées.

 

François Boucher (copie d’après)

1703 – 1770

Psyché et l’Amour

Huile sur toile

Musée Cognacq-Jay

Paris

François Boucher

Paris, 1703 – Paris, 1770

Aurore et Céphale, 1733

Huile sur toile

Rentré de Rome en 1731, Boucher reçoit une première commande importante en 1732 : Vénus demande à Vulcain des armes pour Enée (Musée du Louvre) et réalise l’année suivante Aurore et Céphale. Ces œuvres étaient destinées à orner les salles de billard de la maison de l’avocat François Derbais, rue Poissonnière à Paris. Tout au long de sa carrière, Boucher aborda le thème des amours des dieux, dans un style léger, gracieux et lumineux, qui fit de lui l’un des maîtres du style rocaille. Ici il s’agit d’un thème extrait des Métamorphoses d’Ovide.

Musée des Beaux-Arts

Nancy

 

 

François Boucher

France, 1703 – 1770

Composition aux Putti

XVIIIe siècle

Huile sur toile

Musée d’Assezat

Fondation Bemberg

Toulouse

 

François Boucher

France, 1703 – 1770

Composition aux Putti

XVIIIe siècle

Huile sur toile

Musée d’Assezat

Fondation Bemberg

Toulouse

 

François Boucher

Paris, 1703 – 1770

Huile sur toile, 1763

La Cage

La série des Pastorales* est un des thèmes de prédilection du peintre protégé du roi Louis XV et de sa favorite la marquise de Pompadour. Elle met en scène des bergers et des bergères, en costumes clairs et brillants. Dans la littérature, les thèmes champêtres sont alors à la mode. Les fêtes galantes d’une aristocratie libertine sont à la recherche de plaisirs qui sont au seuil de leur déclin.

Musée d’art et d’histoire de Bayeux

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*

Jean-François Millet ou Francisque Millet

Anvers, 1642 - Paris, 1679

Pastorale avec un jeune pâtre et une femme avec un enfant dans les bras

Huile sur toile

Petit Palais

Paris

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« Boucher est un de ces hommes qui signifient  le goût d’un siècle, qui l’expriment, le personnifient et l’incarnent. Le goût français du siècle s’est manifesté en lui dans toute la particularité de son caractère : Boucher en demeura non seulement le peintre, mais le témoin le représentant, le type. »

Edmond et Jules de Goncourt,

L’art du dix-huitième siècle,

2e édition, 1873 – 1874.

Musée Cognacq-Jay

Paris

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François Boucher

1703 – 1770

Danaé recevant la pluie d’or

1745

Huile sur toile

Musée Cognacq-Jay

Paris

François Boucher

1703 – 1770

La Belle cuisinière

Avant 1735

Huile sur bois

Musée Cognacq-Jay

Paris

François Boucher

1703 – 1770

La leçon de musique

1749

Huile sur bois

Musée Cognacq-Jay

Paris

François Boucher

1703 – 1770

Mademoiselle Baudoin, fille du peintre

Musée Cognacq-Jay

Paris

Portrait présumé de Marie-Emilie Baudoin, fille du peintre et épouse de Pierre-Antoine

Vers 1758 – 1760

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François Boucher 
1703 - 1770
Vénus se parant des bijoux de Junon 
Huile sur toile
Vers 1738
Musée Jacquemart André 

François Boucher

Paris, 1703 – 1770

Allégorie de la peinture

Huile sur toile

Lille

Musée des Beaux Arts 

 

Esquisse d'esprit rococo. L'oeuvre fut considérée de la main du peintre Charles Natoire.

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François Boucher
Paris, 1703 – 1770
La toilette 
1742 
Romans 
Musée de la chaussure 
 

(…) Cette Toilette, une œuvre truffée de détails sensuels et exotiques. 

(…) Installée près de la cheminée où crépite le feu, une jeune femme, dont la robe bleu ciel aux jupons bouffants est relevée sur sa cuisse, ajuste sa jarretière. Son regard doux se porte sur sa dame de compagnie, qui lui présente un bonnet. 

(…) Malgré son air ingénu, la jeune femme n’en demeure pas moins follement sensuelle car, nouant sa jarretière, elle laisse entrevoir l’intérieur de sa cuisse. En suivant l’axe suggéré par sa jambe galbée, les yeux du spectateur – ici un brin voyeur, comme le portrait qui semble observer la scène, caché derrière le paravent – sont naturellement guidés vers sa gorge lumineuse, qui le mène enfin à contempler sa figure angélique rehaussée d’une mouche. 

(…) Sur le rebord en marbre, sont disposés pêle-mêle un délicat ruban de soie rose – qui rappelle autant la jarretière que le corsage de la jeune femme –, un oiseau de céramique, et, au centre, un imposant vase chinois en céladon rehaussé de bronze doré. Au pied d’un chandelier, une mystérieuse lettre attend son cachet… 

(…)  Le peintre attire également notre attention sur la robe de la dame de compagnie nous tournant le dos, dont la silhouette, autant que la toilette, rappelle une célèbre œuvre d’Antoine Watteau, L’Enseigne de Gersaint (1720). Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si, plus tard, ces plis caractéristiques des robes à la française furent baptisés les « plis Watteau » !

(…) François Boucher raffole de ces « chinoiseries » qu’il collectionne malgré leur prix souvent élevé. Sa collection, dispersée après sa mort en 1770, comptait plus de 700 objets !

 

François Boucher 

Clio ou l'Histoire 

Huile sur toile

1742  

BNF - Monnaies, médailles et antiques.

Paris

 

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François Boucher 

Peintre 

Opéra Garnier 

Paris

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François Boucher 

Pastorale au Berger gardant ses moutons 

Caen 

Musée d'art 

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Publié dans art pictural

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